Après une bonne heure de route sur le salar, tout à coup le ciel se pose sur le sol, les montagnes et les nuages nous mettent la tête en bas.
Je demande au chauffeur de s’arrêter.
Sur le sol un petit centimètre d’eau, mais surtout le monde du haut et du bas se mélangent dans un gigantesque reflet où nous ne savons plus trop bien où se trouve le haut du bas.
Qui sait Lewis Carol à peut-être imaginé sa petite Alice dans un lieu de ce genre.
Je cherche encore le Lapin en retard…