Nul ne peut ne veut ou peut-être si peu,
Être la perfection de l'âme qui est pure!
Tant l'animal vit, dans l'être et la lumière,
Nul ne peut pénétrer les pensées de ces gens,
D'arabesques de vie,croquantes ,mais assagies!,
Maintenant à contempler autour toujours
J'ai passé maintes fois, immobile; à sourire,
Et sans serrer les dents, comme pour ne plus souffrir!
Tel un enfant abandonné, petitement,
Je revis le passé comme je l'ai rêvé(je crois)
Mes poèmes sont crus, et durs sans émoi:
La douceur m'effraie de mes atermoiements!
Si le vers me ronge, entrailles mouillées de sang,
Coagulant mes jours, qu'amoncelle le temps,
Et les braises sont rouges , et le blé florissant
Délire d'ogm, JE ME DEVIENT MUTANT!