Mais, plus grave : comment est-ce possible ?
Comment ses supérieurs et autres chefs de mission en Centrafrique (ou ailleurs) ne l'ont-ils pas vu ?
Comment sont faites la sélection et la formation des soldats de la République Française ?
C'est bien que l'État-major fasse son enquête et traite le soldat comme le mérite un tel manquement.
Et qui va enquêter sur la chaîne de manquements évidents qui permettent qu'un tel fait, insultant pour l'armée et pour le pays, puisse se produire ?
Sans un optimisme excessif, je surveille les explications et informations de correctifs qui ne manqueront pas d'être publiés par les autorités « en responsabilité » comme aiment à le dire nos hommes politiques de tout bord.
Jorge