Je ne suis pas riche mais j’aime le luxe…
Je ne saute pas de repas pour économiser pour un sac Chanel et je ne harcèle pas Petit mari non plus (bien que je devrais peut-être…).
Mon truc, c’est le « petit luxe » : un thé, un goûter, un déjeuner dans un palace… Comme disent les djeuns, çà me fait kiffer !
Une de mes meilleures amies fêtait son anniversaire le week-end dernier. C’est toujours un peu délicat de lui choisir un cadeau. Heureusement, il y a le net, les copines blogueuses ou Facebook !!! Grâce à Laure, j’ai découvert le Sunday Night Film Club du Royal Monceau et j’ai trouvé THE cadeau.
Le Royal Monceau est un palace parisien à 2 pas de la plus belle avenue du monde. Dès qu’on descend de voiture et qu’on donne les clés au voiturier, on se sent dans un autre monde.
Tout y est simple et magnifique à la fois. Contrairement à d’autres palaces, on sent la clientèle à l’aise et pas guindée. Le personnel y est discret mais efficace : tout est fait pour votre confort et votre plaisir.
Nous y allions à 4 pour une soirée spéciale alors j’avais choisi la formule Dîner Royal à 95€ qui comprend : une coupe de champagne, du pop corn Pierre Hermé, le film dans la salle de projection privée Le Katara et un dîner au restaurant La Cuisine (une étoile Michelin).
Vous connaissez certainement cette petite déprime du dimanche soir comme moi… Grâce au Royal Monceau, j’ai trouvé comment la chasser ! Nous avons passé une magnifique soirée car au final, nous nous sommes tous les 4 gâtés avec ce cadeau exceptionnel ! J’ai déjà regardé la programmation pour y retourner (40€ pour le film, une coupe de champagne et du pop corn).
Au fait, C’est Love actually qui était présenté. Cela tombait bien mon amie et son mari ne l’avait jamais vu alors que j’en suis fan (j’ai le DVD à la maison).
Et traverser Paris la nuit quand on rentre dans sa banlieue, c’est d’un romantisme !!! A chaque fois, je comprends pourquoi notre capitale fait rêver le monde entier.
Pour plus d’infos, c’est ICI
Cet article Ciné club au Royal Monceau… a ete ecrit sur Le journal d'une mère... débordée !.