L’histoire débute à Londres, où vit un certain Philéas Fogg. De nature peu expansive et très poctuelle, notre personnage a une vie réglée comme du papier à musique. Passepartout, « majordome » français, entre au service de Fogg avec un grand enthousiasme. Après de longues années mouvementées, il est heureux de trouver une certaine stabilité auprès de cet homme. Malheureusement pour lui, un soir, alors que Fogg rentre de son Club, il apprend qu’ils sont en partance pour le tour du monde. Suite à une discussion, Fogg a pris le pari de faire le tour du monde en 80 jours.
Ce roman fait partie des grands classiques de Jules Verne. À travers cette aventure, il est difficile de passer à côté de la passion de l’auteur pour tout ce qui a trait à la technologie et à la science. Transportés autour du monde, l’auteur décrit de nombreux moyens de locomotion parfois « habituels », parfois hors du commun. Le rapport au temps tient le lecteur en haleine et le suspense est alimenté jusqu’à la dernière page.
C’est une chouette aventure, qui donne envie d’en découvrir bien d’autres.
Ma note : 3,5 étoiles