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Alors que je devrais couler des jours heureux à savourer les douceurs hivernales comme citées dans la chronique précédente, je me rends compte en vérité, que je suis au bord de l’apoplexie. Trépignante, gigotante, bouillonnante, piaffante d’impatience et de frustration, bref en plein caprice de Princesse. Tournant comme une lionne dans sa cage dorée et molletonnée. En fait, je voudrais déjà être à « après », à « plus tard », à « Ça y est! C’est maintenant ! »
Bah Bravo… Pour quelqu’un qui se pâme sans cesse en sifflotant des « Il faut vivre l’instant présent… le passé n’existe plus, le futur n’existe pas, et blablabla et blablabla… » pour la congruence, on repassera ! Bonjour la tatane trouée du cordonnier !
D’accooord… « Attendre » sera donc le mot d’ordre de cette fin d’année… et du début de l’autre aussi. Il me faudra attendre sans rechigner que le Printemps veuille bien pointer le bout de son bourgeon pour que les feuilles de mon grimoire potager puissent – enfin – éclore à leur tour.
Ah ! La patience. Une valeur inculquée à LaPetite avec conviction et… sans grands résultats pour le moment, il faut bien l’avouer ! (La pomme ne tombe jamais loin de l’arbre, non ?!). La patience « égrenée » tout au long de mon manuscrit comme autant de semences indispensables à notre bonheur quotidien… La patience… Mouais… Pfiou ! C’est trop long, la patience… mais que c’est bon !
Pour faire preuve de « Patience » comme les grands sages Guns N’Roses, c’est ICI !