nous ferait parvenir
à cette simplicité sans limites
de pouvoir rêver grand
dans les petites heures du temps ordinaire
avec la faiblesse de croire
que dans le plus dénué
il resterait encore
cette part de ciel et d’amour
qui qualifie la vie
***
Gilles Baudry (né en 1948) – Le bruissement des arbres dans les pages (2013)