SOLIDAIRES! et nombreux pour s'être déplacés vendredi dernier aux Larris pour partager dans ce quartier populaire un couscous entre voisins qui subit toutes
les difficultés d'un quotidien qui rend la question sociale au coeur des cmobats à venir pour retrouver un mieux vivre. Pour retrouver un présent qui ne se délite pas en raison des abandons
successifs d'un Etat à ses responsabilités, à ses engagement au travers du maintien indispensable des services publics. On sent de plein fouet le vent violent d'un emploi perdu, d'une retraite
aggravée, d'un logement précarisé; tous ces marqueurs d'une insécurité sociale qui inévitablement nourrit des précarités et des inbsécurités physiques, des incivilités.Ce repas festif était le contre-pied de cette chute vertigineuse dans un abyme où peuvent nous entraîner des politiques plus attachées à réguler des
marchés, à équilibrer des comptes où le service public sera toujurs perdant car laissé pour compte!Ce repas est une réponse responsable et solidaire d'hommes et de femmes qui se refusent aux abandons, au toujours plus d'effort demandé alors que nous
savons que l'austérité a pour effet d'enrichir toujours plus la minorité des plus hauts revenus. La situation du Portugal en est un exemple criant de vérié. De cette honteuse vérité! Pour
preuve les 500 premières fortunes de France ne connaissent pas la crise. Elles ont même vu leur richesse globale augmenter de près d’un quart en un an, comme l'a rapporté l’hebdomadaire
Challenges . Son montant s’établit à 330 milliards d’euros et n’a jamais été aussi élevé depuis 1996, année où Challenges a lancé le classement des "500".Il a quadruplé en une décennie et représente 16% du produit intérieur brut du pays. Il compte aussi pour 10% du patrimoine financier des Français, « soit un dixième de la
richesse entre les mains d’un 100 millième de la population », affirme Challenges.Ce groupe de 500 compte 55 milliardaires, 10 de plus que l’année dernière, précise l’hebdomadaire. Les dix premiers du classement ont vu leur fortune croître de 30 milliards en douze
mois, à 135 milliards (40% du total). Voilà les raisons qui nous portent à croire qu'il nous faut nous mobiliser et porter une solidarité et surtout maintenir un barrage sur notre ville en
assurant un effort de solidarité, en résistant à notre échelon à cet effondrement social, à ce choix libéral qui creuse toutes les inégalités et qui détériore tout le lien social. Une
mobilisation pour un programme municipal citoyen, partagé dans son élaboration, qui prenne en compte chaque question, chaque observation dans le seul intérêt non pas d'un nombre de place à
gagner par le suns ou par les autres dans une majorité municipale mais bien dans celui-ci de gagner le pari difficile d'un Fontenay-sous-Bois social et solidaire, d'un
Fontenay-sous-Bois novateur et partagé dans son développement et solide dans ses équilibres qui en ont fait une ville exemplaire dans ce gigantesque pôle urbain qu'est notre région
d'Ile-de-France.