Toulouse. Un ambulancier jette son fils de 4 ans du haut d’une terrasse. Mais la punition étant jugée certainement trop légère, il descend, le saisit par les pieds et lui fracasse le crâne contre le bord d’un trottoir… pour être certain qu’il comprenne bien. Les policiers trouvent un homme surexcité, très agressif, qui va également blesser deux d’entre eux. Les secours n’ont rien pu faire, l’enfant est mort sur place. L’autopsie montre un « important fracas crânien »…
Attendant patiemment la fin d’un diner en famille, un autre homme de 38 ans vient de tuer sa femme et sa fille. 19 coups de couteau dans le corps de sa femme. Autant dire qu’il n’a pas trébuché en apportant le rôti. Mais, grand seigneur, il a tout de même épargné sa plus jeune fille de 4 ans, qui avait, heureusement pour elle, un profil « aryen ». Oui, les blondes aux yeux bleus ont le droit de vivre, c’est bien connu, ça me rappelle un autre grand homme mais … son nom m’échappe. La fillette a passé 12 heures au pied des corps de sa mère et sa soeur. Lors de son arrestation, l’homme grognait comme animal et s’était tailladé les poignets.
A Millau, c’est un homme de 28 ans qui se présente à l’appartement situé sous le sien, attaque les 2 adolescentes qui s’y trouvent, puis assassine l’une d’elle âgée de 14 ans en la poignardant à 15 reprises. On lui a reconnu des « troubles mentaux manifestes » avec « bouffées délirantes ».
Le point commun entre ces faits divers qui deviennent … communs ? La consommation de cannabis et/ou de drogues psychiatriques !
L’actualité des dernières semaines continue de montrer que le cannabis est tout sauf une drogue récréative sympa qui permet simplement de se détendre. Aussi loin que l’on remonte, la dangerosité du cannabis a toujours été constatée.
Dans la civilisation assyrienne (4000 ans avant Jésus-Christ), on appelait le cannabis Gan-zigun-nu : « la drogue qui emmène l’esprit ».
En Malaisie, le cannabis rendait fou les fumeurs, et cette fureur était appelée « amok » qui signifie « démon du meurtre »…
Enfin, il semble bon de rappeler l’origine même du mot « Assassin » qui vient de l’arabe « haschisch » , signifiant … mangeur de haschisch. Les haschischins étaient les membres cruels d’un clan musulman. Cette drogue « volait leur conscience ». Les mangeurs de haschisch pouvaient alors commettre des crimes sans remords.
Voilà donc bien où l’on s’achemine, petit à petit en voulant jouer à « l’apprenti sorcier » sans écouter les leçons de l’histoire qui pourtant sont assez cinglantes pour mériter d’être retenues : depuis la nuit des temps le Cannabis n’a jamais laissé que des sociétés détruites derrière lui.
Il est grand temps de connaître et faire connaître « La vérité sur le cannabis » et c’est dans ce but que les bénévoles de l’association « Non à la drogue, oui à la vie » étaient présents ce samedi 14 décembre, à Marseille Cours Julien, distribuant par centaines les livrets de la série « La vérité sur la drogue ».
La campagne d’information de l’association Non à la drogue, oui à la vie s’appuie sur le « kit de prévention » qui comprend 13 brochures factuelles sur les drogues les plus courantes (Cannabis, Héroïne, Cocaïne, Crack, Ecstasy, LSD, Antidouleurs, Crystal Meth, Ritaline, alcool, drogues psychotropes prescrites ou drogues par inhalation), ainsi qu’une série de 16 spots vidéo de 30 secondes intitulés « Ils m’ont dit… Ils ont menti » et enfin plus de 200 témoignages vidéo basés sur des expériences authentiques.
Pour obtenir davantage d’information sur les actions de l’association ou pour télécharger ou obtenir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org
Contact presse : Robert Galibert au 06 20 51 17 57 [email protected] ou http://cestquoiladrogue.fr