Quatrième de couverture :Dans un train, un homme et un enfant traversent l’Europe. Le train les mène d’un siècle à l’autre. Le XXe siècle derrière, le XXIe siècle devant. Dehors, défilent plaines, forêts, champs, villes et rivières qui bientôt auront changé de nom. L’homme et l’enfant ne parlent pas la même langue. Quelle histoire les relie ? Le long des rails : des valises ouvertes, des habits éparpillés… Ce n’est pourtant ni la guerre ni l’exil qui sont la cause d’un tel émiettement. Entre les rangées du wagon, s’avance le Semeur : celui qui a la charge de délivrer les passagers de leurs vies passées. Il balance ce qu’il trouve : sacs, habits, petits souvenirs emportés à l’heure du départ. Le tout achève sa course, sur les pierres, le long des ballasts, dans la poussière… Oublier, trahir, puis disparaître est un conte du XXIe siècle, où le lecteur découvre petit à petit le sens du voyage : une traversée où un homme d’âge mûr cherche à transmettre, plutôt qu’une mémoire, l’énergie de l’oubli et des métamorphoses.
Magazine Culture
Oublier, trahir puis disparaître, Camille Toledo
Publié le 14 décembre 2013 par Bouquinovore @bouquinovore
Auteur: Camille de Toledo
Titre Original: Oublier, trahir puis disparaître
Date de Parution : 2 janvier 2013
Éditeur : Seuil
Nombre de pages : 224
Prix : 17,00€ 16,15€
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Oublier, trahir puis disparaitre
Quatrième de couverture :Dans un train, un homme et un enfant traversent l’Europe. Le train les mène d’un siècle à l’autre. Le XXe siècle derrière, le XXIe siècle devant. Dehors, défilent plaines, forêts, champs, villes et rivières qui bientôt auront changé de nom. L’homme et l’enfant ne parlent pas la même langue. Quelle histoire les relie ? Le long des rails : des valises ouvertes, des habits éparpillés… Ce n’est pourtant ni la guerre ni l’exil qui sont la cause d’un tel émiettement. Entre les rangées du wagon, s’avance le Semeur : celui qui a la charge de délivrer les passagers de leurs vies passées. Il balance ce qu’il trouve : sacs, habits, petits souvenirs emportés à l’heure du départ. Le tout achève sa course, sur les pierres, le long des ballasts, dans la poussière… Oublier, trahir, puis disparaître est un conte du XXIe siècle, où le lecteur découvre petit à petit le sens du voyage : une traversée où un homme d’âge mûr cherche à transmettre, plutôt qu’une mémoire, l’énergie de l’oubli et des métamorphoses.
Quatrième de couverture :Dans un train, un homme et un enfant traversent l’Europe. Le train les mène d’un siècle à l’autre. Le XXe siècle derrière, le XXIe siècle devant. Dehors, défilent plaines, forêts, champs, villes et rivières qui bientôt auront changé de nom. L’homme et l’enfant ne parlent pas la même langue. Quelle histoire les relie ? Le long des rails : des valises ouvertes, des habits éparpillés… Ce n’est pourtant ni la guerre ni l’exil qui sont la cause d’un tel émiettement. Entre les rangées du wagon, s’avance le Semeur : celui qui a la charge de délivrer les passagers de leurs vies passées. Il balance ce qu’il trouve : sacs, habits, petits souvenirs emportés à l’heure du départ. Le tout achève sa course, sur les pierres, le long des ballasts, dans la poussière… Oublier, trahir, puis disparaître est un conte du XXIe siècle, où le lecteur découvre petit à petit le sens du voyage : une traversée où un homme d’âge mûr cherche à transmettre, plutôt qu’une mémoire, l’énergie de l’oubli et des métamorphoses.