Le bonheur n'y est jamais fini

Par Autourdupuits
On habite Paris depuis longtemps on pense bien le connaitre et pourtant on y trouve parfois merveille .Des paysages
 qu'on n'avait jamais vus ,des ambiances...
qu'on ne soupçonnait pas.
Comment avait-on pu ignorer sa ville à ce point,Le voyage n'y est donc jamais fini?
L'amour qu'on lui porte prend des saveurs plus riches ,comme il arrive aux vieux couples dont le bonheur certains jours se renouvelle

                                                                                                  365 Bonheurs parisiens

Elle me citait un des passages de ce livre la semaine passée ,mes amis de face de bouc savent que les trois quarts de notre maison  sont sous l'emprise de gros travaux  depuis plus de deux mois et pour encore un petit mois,comme je le lui disais ce livre m'est inaccessible en ce moment alors je suis allée dans une librairie , afin de le picorer  et photographier certains passages dont je me souvenais dont celui-ci 


Je n'ai pas encore l'habitude des nouvelles berges de Seine qui s'offrent aux parisiens ,lorsque je sors de chez moi  et que j'arrive sur le Pont Alexandre III j'ai l'habitude de me diriger vers la droite (n'allez pas en tirer des conclusions hâtives je pense à Liliforcole et Bretonne qui vont brocarder je lis déjà leurs goguenardises...) ayant une réunion à deux pas de notre Tour


 je suis rentrée chez moi en empruntant ces nouvelles berges piétonnes dont l'ambiance hivernale n'est pas celle de guinguette de cet été ,mais quelle lumière fabuleuse

 quelle ambiance 



Il va sauter aux yeux des "photographes" que j'ai triché. Les habitués de Paris remarqueront  la façade du musée du quai Branly au soleil couchant et la verrière du Grand Palais sous un soleil un peu plus haut et se demanderont comment cela se fait!!!  Je l'avoue je n'avais pas mon appareil photo en sortant de réunion, nous avons eu à Paris une semaine bénie des dieux pour les amateurs photographes aussi le lendemain je me suis fait un petit cadeau j'ai refait la promenade en sens inverse entre seize et dix sept heures au moment  où ces lumières inimaginables habillent Paris  Il n'est pas désagréable de remonter le temps  Ce sera ma participation à la

                                                 
D'Amartia