Magazine Culture
15 décembre 2013
les prétentieux qui d'un air hautain disent "c'est dégueulasse" pour toujours en venir à mépriser les "ploucs" ou les "beaufs" qui ne mangent pas comme eux vont encore trépigner de rage de toute leur sainte indignation de "connaisseurs" insupportables de mépris! oui, le hamburger, c'est bon, c'est sympa et même en restauration rapide, ce n'est qu'un sandwich à la viande, avec une sauce, rien de g...rave ni diététiquement ni gustativement! Car, comme tout, il ne faut pas en abuser! La distinction, le mépris glauque montrent que les "gastronomes" vilipendant la "malbouffe (,), qui n'est qu la bouffe des autres, des pauvres même, souvent ne font qu'exprimer leur appartenance ostraciste à un groupe, une caste, une classe, un milieu;on les confond presque toujours avec une dégustation à l'aveugle, surtout quand il s'agit d'oenologie: j'adore ça! Et ça dévoile que leurs propos ne vient pa du goût des aliment mais d'une mentalité badplaf! Le hamburger a permis au mépris de classe de s'exprimer et aux sectarismes diététistes à prétentions savantes de se dévoiler dans son abjection à bonne conscience fausant déferler sur les vraies personnes, non inféodées à cette idéologie veule, une marée de vomissures malveillantes, hargneuses, discriminantes... Et l'idée de "malbouffe"(?) continue de les dénoncer, ça permet de les éviter: il n'y a rien de bon à attendre de ces gens-là, pourris d'attitude et d'auto-gratification... oui,quand on n'a pas de principes, on ne refuse pas le tranquille, familier, tendre, pépère hamburger qui n'empêche aucunement, à d'autres moment, la bonne blanquette de grand-mère ou tout autre merveille culinaire. http://fr.news.yahoo.com/restauration-hamburger-l-39-exception-ne-connaît-crise-101835355.html
Apprenons à apprécir ce qu'on aime vraiment et non ce qu'on DOIT aimer dans tel ou tel groupe, classe, caste ou milieu! C'est une question politique, une question de citoyennenté: un inféodé au "bon goût" n'a pas le jugment asse libe pour être un citoyen tandis que souvent, son classisme, son mépris produit un discours contre les "ploucs" qui "mangent mal" qui ressemble fort à celui du racisme!
Lire baudrillart: la distinction sociale, le rejet de ceux qu'on juge "inférieurs" s'effectue principalement par les modes de consommation, ce qu'on peut constater tous les jours, de la mode à la bouffe!