Après la femme-phoque, voici la femme-éléphant.
Et on s’éloigne du conte pour enfant, pour aller vers les contrées plus insécures de la ballade lynchéenne. La voix blessée, vulnérable, le refrain en clé mineure font de cette chanson un cri poignant, à peine masqué par un rythme et une instrumentation presque entraînante. Musicalement, j’ai pensé à la Chanson de Slogan de Gainsbourg, chantée par Jane Birkin (même machine orchestrale qui avance, contrastant avec un chant à bout de souffle).
Un grand morceau.
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