Faire semblant, c’est utile et inutile et c’est facile semble-t-il mais, au fond, les faux semblants, ça mine, le teint et les crayons, de bois et de marbre. Et alors, faire semblant et de feu tout bois devient impossible. La mission se solde toujours par un échec et vous matte. Rester de marbre à tout prix : une émotion en soldes qui se paye au prix fort. L’illusionniste s’auto-protège et le miroitier engage une partie d’échecs qui peut durer toute une vie entre soi et soi-même, moi, surmoi et égo.
Petits mensonges entre soi et soi-même. Moi, surmoi et ça ne pas sont égaux à l’égo. Jeux de dupes, de ressemblances pour sauvegarder les apparences. Et tout ça pour quoi ? Comment ? Où ça ? Avec qui ? Le pourquoi du comment s’y perd et où qui recouvre la vue de la raison se voit dans l’obligation de se rendre à l’évidence, on a fait semblant et on a tout faux, c’est évident. Force est de constater qu’on se force et, à force, on perd toutes ses forces.