Brooklyn Nine-Nine // Saison 1. Episode 11. Christmas.
Juste après Thanksgiving, c’est déjà Noël dans Brooklyn Nine-Nine. Si d’un point de vue planning ce n’est pas trop ça, j’ai bien aimé « Christmas »
comme la plupart des épisodes de Brooklyn Nine-Nine depuis le début de la saison. Comme dans l’épisode précédent, celui-ci cherche encore une fois à développer la dynamique entre
Holt et Peralta. Je trouve que les deux fonctionnent toujours aussi bien ensemble. Bien que contrairement à l’épisode de Thanskgiving cette intrigue partagée par les deux personnages aurait très
bien pu se dérouler dans n’importe quel épisode de la série, ce n’était pas un problème. Surtout que finalement la série ne cherche même pas à se servir de Noël. Le nom de l’épisode est presque
un prétexte pour dire que nous sommes en pleine période de Noël. Malgré tout, quelques intrigues comme celle de Santiago, parviennent à donner un sens à cet épisode d’un point de vue de la fête
qui lui donne son nom. Encore une fois Peralta et Holt font le show et pas seulement d’un point de vue des dialogues (“Nobody cares about canine diabetes.”
“They can’t give themselves shots. They have fat paws!”) c’est aussi une complicité de plus en plus palpable entre les deux acteurs que j’aime beaucoup.
Mettre Peralta responsable de la protection de Holt est presque une blague. Holt ne fait pas confiance à Peralta. Non pas qu’il doute de ses qualités ou encore de sa gentillesse et de son humour,
mais disons que justement c’est un garçon qui préfère faire le pitre et Holt a des raisons d’avoir peur. Enfin, en apparence car cet épisode va encore une fois permettre aux deux personnages de
se retrouver élégamment dans des situations efficaces et cocasses. Ecrit par Dan Goor, l’un des co-créateur de la série, cet épisode fait transpirer ce que la série a tenté de
faire évoluer depuis son premier épisode. Je pense que Dan Goor tente de nous démontrer que Peralta et Holt sont là pour s’apprécier au fil des épisodes. L’amitié qui se dégage
des deux personnages est bel et bien présente ce qui me donne confiance en la suite. Surtout que j’ai adoré le Holt du passé. Le flashback était tellement drôle. Aussi bien d’un point de vue
physique pour le grimage de Andre Braugher que d’un point de vue de la scène et des dialogues. Tout fonctionne à la perfection. C’était tout simplement jouissif à souhait.
« I say Marco, you say Polo. Punk. »
Note : 8/10. En bref, toujours un prétexte pour nous faire rire, comédie de l’année.