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Catching fire

Publié le 09 décembre 2013 par Bigreblog

Re-bonsoir les gens.

Alors, premier film vu en ce mois de décembre, et ce deux jours avant de décéder de façon monstrueuse devant un dragon et treize nains badass, Catching fire, petit frère de Hunger Game.

Un film avec Jennifer Lawrence, de la critique de société, du vrai méchant, et du vrai charmeur…

Review garantie sans spoilers!

:)

Catching fire reprend quelques mois après la fin de Hunger Games. Katniss, désormais installée dans le village des vainqueurs, a du mal à dormir la nuit et à oublier les meurtres qu’elle a commis dans l’arène. Le Président Snow, prétextant une visite de courtoisie, vient la prévenir qu’une rébellion a éclaté, et que si elle ne calme pas le jeu, elle en paiera le prix.

Et ce prix, ce sera sa vie et celle de ceux qu’elle aime. Et alors que Snow la renvoie, elle, Peeta, et les autres vainqueurs des districts, dans une nouvelle arène, la rébellion éclate bel et bien…

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Inutile de préciser que le pitch de ce film respecte à outrance le pitch du livre correspondant. Chaque ligne, chaque seconde est exactement comme elle est supposée être sur papier.

Bref, j’approuve juste tout.

Mais même un film très bien écrit peut être un vrai fiasco s’il n’est pas interprété par les bonnes personnes.

Et c’est là qu’interviennent les atouts de Hunger Games: les membres de son casting.

Jennifer Lawrence est toujours impeccable en Katniss, forte tête déchirée par ses sentiments pour Gale et Peeta, son instinct de survie, et les regrets qui la hantent toujours après ses premiers jeux. On n’aurait pu rêver meilleure interprète.

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Josh Hutcherson est toujours aussi bon en Peeta, adorable petit naïf fou amoureux qui accepterait même un mariage de convenance si ça fait plaisir à la fille qu’il aime. J’ai toujours aimé le personnage.

Gale, personnage qui ne sert toujours strictement à rien (mais ça s’arrangera dans le troisième film) est toujours incarné par Liam Hemsworth, frère de, qui donc ne cesse de me donner des boutons.

Haymitch Abernathy, le mentor légèrement timbré et alcoolo de nos deux tributs préférés, a lui aussi toujours la tête de Woody Arrelson, énorme, juste énorme.

Elizabeth Banks prête toujours ses jolis traits à Effie, et je suis désolée, mais en tant qui shippeuse monumentale, j’adhère au groupe des shippeurs de Hayffie. Ces deux-là ont besoin de s’épouser fissa.

Dans les nouveaux venus, on compte l’immense Philip Seymour-Hoffman, qui incarne Plutarch Heavensbee, le nouveau Haut Juge, un brin moins…manichéen qu’il n’y parait.

Jena Malone interprète quant à elle une énorme Johanna Mason, affreuse connasse hyper attachante malgré elle. Oh mais que je l’aime.

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Mais ban, mon personnage préféré dans ce deuxième tome and on, c’est quand même Finnick. L’homme le plus canon de Panem, un charmeur comme on en voit plus, tout aussi beau qu’intelligent et badass.

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Et franchement, j’aurais jamais cru le dire un jour, mais…Sam Claflin était crédible. Même vachement crédible. Thanks the heavens.

Seul bémol finalement: le générique de fin. Autant vous savez que je suis fan inconditionnelle de Coldplay, autant Atlas arrive comme un cheveu sur la soupe au vu de ce qui précède.

Dommage, quand on sait que cette chanson est sublime…

Bref, les enfants, une bonne, très bonne suite, qu’il faut voir sans ou après avoir lu le livre (finalement, il importe peu), mais, je vous le dis, préparez-vous à avoir envie de connaitre la suite…ASAP…

Note: 8/10 (scénario: 8/10jeu: 8/10BO: 7/10 (James Newton-Howard fait du bon travail, mais le générique casse tout)adaptation: 9/10)

Et Mags...j'l'ai tellement adoré...

Et Mags…j’l'ai tellement adoré…



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