Le grand Homme n’avait de rancune,
Il savait son pardon témoin de sa vérité,
En son âme tant de certitudes,
En son cœur tant de valeur,
Ou cette incroyable sérénité enfant de son humilité,
De sa sincérité,
La prison de ses geôliers n’enfermait que son corps,
Il voyait déjà sa liberté bien au-delà des années,
Telle une évidence guidée par son infaillible espérance,
Car le grand Homme avait la mémoire de son éternité,
La force de sa divinité,
Ces richesses qu’il savait en chacun,
Combien voulait-il ouvrir les consciences,
Avertir qu’il n’y a de différences,
Tous les êtres sont semblables,
Tous héritiers de la vie,
Tous ouvriers de la paix,
Tous disciples de l’amour,
Le grand Homme laisse une indélébile trace qu’il nous convient de suivre,
Sûr est maintenant notre chemin,
Le grand Homme était un guide,
Voyons maintenant son étoile.