« Je crois que c’est l’insouciance qui me manque le plus. »
Voici la phrase qui est à l’origine du projet « Ne serait-ce qu’une seconde » Le 17 juin 2013, à l’initiative de la Fondation mimi et en collaboration avec l’agence Leo Burnett France, 20 personnes atteintes du cancer ont participé à une expérience de relooking inédite. elles ont été invitées dans un studio où elles ont été coiffées et maquillées sans qu’elles ne puissent se voir.
Un cliché a immortalisé l’instant où elles ont ouvert les yeux. Cette découverte leur a permis d’oublier la maladie, ne serait-ce qu’une seconde. Ce projet s’est déroulé en deux étapes.La première, en juin dernier à Bruxelles, La Fondation mimi et l’agence Leo Burnett ont fait travailler conjointement le photographe Vincent dixon et le réalisateur Coban Beutelstetter. L’un avait pour rôle d’immortaliser la seconde où ces personnes se sont redécouvertes. L’autre avait pour mission de filmer chaque instant de cette expérience.
La deuxième étape du projet consistait à organiser une expo photo le 7 novembre 2013 à destination des familles des patients. L’idée était de leur révéler au même moment les clichés réalisés par Vincent dixon. en un instant les sourires se sont propagés. a cette seconde précise, pour les familles aussi, le cancer n’ existait plus.
Un livre de photos intitulé « Ne serait-ce qu’une seconde » disponible sur commande [email protected] .Ce livre renferme les 20 clichés des participants du projet. une légende accompagne chaque portrait : La date et l’heure à laquelle la photo a été prise et surtout cette seconde précise durant laquelle chaque personne a oublié la maladie. En parcourant ce livre, le lecteur se laisse emporter par les rires, les fous rires et les visages remplis d’insouciance. Il s’étonnera même de voir apparaître sur son propre visage… un sourire.
Et c’est bien cela, l’idée centrale du projet « Ne serait-ce qu’une seconde » la propagation de sourires. mimi-foundation.org