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Échec de l’école de la République : déferlement de verbiage pour taire la vérité !

Publié le 05 décembre 2013 par Tchekfou @Vivien_hoch

Sur le site de l’AGRIF

L’échec du dénommé « système éducatif français », c’est avant tout l’échec de ce que la gauche appelle « l’école de la république », c’est-à-dire l’école qu’elle a idéologiquement et administrativement confisquée depuis plus d’un siècle.

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L’école de cette drôle de République est le champ clos des expériences d’une vieille pédagocratie utopiste remontant pour le moins à Jean-Jacques Rousseau. Socialistes et anarchistes, communistes de tous poils, sans oublier les appartenances maçonniques, y rivalisent dans les appétits de pouvoir et les âpretés des vaticinations concurrentes d’un néo-talmudisme sur fond de rousseauisme, de freudo-marxisme et d’un soi-disant antiracisme nihiliste et LGBT.

Le dénominateur commun en est la devise « ni dieu ni maître ». Mais non sans gourou, comme le pédagocrate Philippe Mérieux – si cher au jauressolâtre Peillon, apôtre de la révolution permanente, de tous les déracinements, de toutes les déstructurations, de tous les conditionnements.

Les ravages des utopies nihilistes amènent désormais notre système éducatif vers l’effondrement.

Le remède à cela tient pourtant en quelques mots : ceux des valeurs explicatives de la réussite scolaire de certaines nations, notamment asiatiques. C’est « l’enracinement » si cher à notre grande philosophe du XX° siècle en rupture avec le marxisme, Simone Weil, recueillie pendant la guerre par Gustave Thibon. Ce sont les mots des sagesses confucéennes, bouddhistes, shintoïstes, qui n’ont cessé d’imprégner respectivement les peuples de Chine, du Vietnam et du Japon : piété filiale, respect des maîtres et des traditions, travail, discipline, patriotisme.

Cependant que nos pays, nos politiques et nos pédagogues ont piétiné les valeurs universelles que rappelait le grand rabbin Jacob Kaplan :

« Dieu, la famille et la patrie, voilà, en effet, les grandes idées que les livres sacrés enseignent ». (Témoignages sur Israël).

Comment s’étonner alors que dans la logique du déni de ces valeurs, rien n’ait été fait non plus pour éduquer tous les enfants dans les apprentissages fondamentaux de la langue française et du calcul, pour leur faire apprendre, aimer et adopter comme la leur l’histoire de France, socle du sentiment de communauté de destin, sans lequel il n’y a pas d’avenir possible.

Les Romains avaient bien compris pareille chose, dont tous les citoyens de l’empire, latins, africains ou asiatiques, se disaient fils de Romulus et Rémus. Cependant chez nous, Monsieur Peillon et ses pédagogues qui entendent faire du passé table rase ne veulent plus transmettre à tous les petits Français de toutes races qu’ils sont les héritiers de Vercingétorix, de Clovis et de Charlemagne.

Aussi, avant que de procéder, encore et encore, à des réformes apparemment nouvelles mais dans les mêmes ornières, l’urgence serait d’en finir avec les idéologies révolutionnaires surannées. Comment veut-on que notre école réussisse alors que l’univers que l’on offre aux élèves dès la maternelle est celui du martèlement des mensonges de l’idéologie du soi-disant antiracisme, de toutes les permissivités, de toutes les transgressions ?

Pour refaire une école française et retrouver les chemins du progrès, la seule voie est celle de la réforme intellectuelle et morale déjà en son temps prônée, mais en vain, par Ernest Renan. Ce n’est pas dans les décombres idéologiques des vieilles divagations soixanthuitardes que l’on pourra rebâtir l’école de la France, dans le respect de son identité et des valeurs universelles.


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