Quatrième de couverture :Il s’en passe de belles, à Belfast, cet hiver-là…
Deux mains gauches sont découvertes dans les entrailles d’un sanglier abattu à la chasse. Vingt ans plus tôt, c’étaient des chiens sauvages échappés du zoo qui déchiquetaient les corps… Et il ne fait pas bon s’attarder dans les bars : une femme mystérieuse — pute ou pas pute ? — attire plusieurs hommes de la ville dans ses filets , puis s’offre à leurs dépens des séances de torture raffinées avant de les achever. Le soin de démêler les fils sanglants de cette série macabre échoit à Karl Kane, détective privé cabossé par la vie et hanté par un drame digne d’un fantasme de James Ellroy. Et ce n’est pas la police qui va l’aider. L’humour noir, très noir, mais cultivé, de Sam Millar est de nouveau présent dans ce premier volet d’une trilogie policière pas comme les autres.