La saison 1 des Pêcheurs se termine ce soir, et je revis par petits flashs les 4 ans qui se sont écoulés entre le flash initial et sa conclusion.
Je le redis, c’est de loin le projet le plus tripant que j’ai eu le privilège de faire, qui rejoint le plaisir que j’ai pu avoir sur scène certains soirs de pleine lune.
J’ai une dette immense envers les humoristes qui ont accepté d’embarquer dans une nouvelle émission, avec le risque que cela comporte, de jouer leur propre rôle, bref de se mettre en danger. Plus un humoriste est connu et apprécié du public, plus il a perdre en se mettant en danger dans un nouveau show, c’est tout à leur honneur d’avoir embarquer dans la chaloupe, sans eux, pas de série.
Puis c’est une évidence, une dette envers le réalisateur Jean-François Asselin qui a monté une équipe hyper dévouée et franchement talentueuse pour réussir à créer l’univers sympathique du chalet de pêche.
Tous succès comportent une part de hasard mais chaque succès a aussi sa petite histoire d’embûches et d’imprévus, je suis bien placé pour savoir ce que je dois aux autres dans ce succès, et si les dieux du hasard m’écoute, soyez bons avec les personnes suivantes :
André Béraud et Johanne Larue : À la direction des programmes qui ont cru les premiers au potentiel du concept
Ian Lauzon : qui m’a aidé à écrire le pilote et premier épisode de la série
Claude Meunier : qui m’a parrainé pour créer la série, coach d’écriture de luxe
Dominic Sillon : qui a dialogué avec moi la moitié de la série
Michel Morin : qui a dialogué 2 épisodes
Eric k Boulianne : qui a co-écrit un épisode et dirigé le magnifique site web de l’émission
Les producteurs Martin Roy et Louis-Phillipe Rochon, qui m’ont donné le plus beau cadeau pour un créateur : carte blanche.