Sans cesse nous sommes à la recherche des secrets de beauté de nos grands-mères. Enfin, moi, parce qu’après tout vous je ne sais pas, vous êtes, je n’en doute pas, jeunes très jeunes, juvéniles à en faire rougir votre string, et que plus je vieillis plus je vous trouve de plus en plus nombreux vous les jeunes. Oui, mais donc moi, et beaucoup de copines, de lectrices de magazines, et de copinautes cherchons le secret, simple, bio, pas cher pas compliqué pour lutter contre la ptôse et la ride, le truc tellement évident et ballot que l’on s’imagine l’avoir sur le bout de la langue pour transformer notre duvet de poussin en tignasse léonienne.
Parce que hein, nous ne sommes pas bûches, des consommatrices lobotomisées prêtes à bouffer du foin au prix du safran, se ruiner sur 4 générations pour une crème aperçu la mer ou UN œuf de caviar.
Nous ne sommes pas des cruches, nous on ne nous la fait pas, nous, nous demeurons sourdes aux sirènes qui nous chantent leurs tubes et que nous le valons bien, à ceux de leur reine mère, l’indétrônable Liliane, la canonique Bettencourt, la scarifiée héritière à la beauté éternelle momifiée de main de la maître de l’homme de l’art.
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