Mais comment ont-ils pu ? Comment ont -ils osé mettre aussi bas cette belle institution ? J’étais plus que surpris voire déçu du choix de Kate Moss pour célébrer les 60 ans du temple de l’érotisme et de la courbe, j’ai nommé mon précieux PLAYBOY.
Aussi loin que je me souvienne de mes 1ers émois photographiques, Playboy c’était des femmes qui vous emportaient au ciel, dont les courbes affolaient les sens.. à retourner un ayatollah dans sa tombe (célèbre phrase piquée au SAS de mr Gérard de Villiers)… Et puis patatras!!!!! Certes le choix de la Moss n’augurait rien de bon, mais la série des photographes de mode Mert & Mercus est une arnaque sans nom!
Tout y est fake: l’histoire, la mise en scène… mais surtout les courbes de celle que l’on a toujours surnommé « la brindille » qui n’auront jamais été aussi « gonflées »! Seins pleins et fermes, ventre plat, et surtout cul callypige.. Attendez on parle de Monica Bellucci ou de Kate Moss?
Le grand vainqueur de cette 60e édition reste bel et bien Photoshop qui aura réussi à transformer Kate Moss en bombasse carioca!!!!
Monde de M!#$&… Puisque c’est comme ça je pars me réfugier dans la réedition collector de Playboy par Taschen volumes 1 à 6!!! Aucune chance d’être déçus avec les classics.