Mes lectures du moment...

Publié le 02 décembre 2013 par Kakidu92 @Kakidu92
C'est bien gentil de parler maquillage, soins et trucs de fille mais faudrait pas oublier ma boulimie de lecture qui perdure malgré la fin de l'été. Je te rassure, j'en étais la première étonnée...

F.B.I., l'histoire du Bureau par ses agents. 

Note de l'éditeur
Voici l'histoire, sur un siècle, de la plus célèbre organisation policière de la planète. Pour la raconter, les auteurs ont pu consulter des milliers de pièces d'archives inexplorées et bénéficier d'une centaine de témoignages d'agents en service ou retirés. Ils nous entraînent dans un périple au coeur du mythe : de l'épopée des tueurs de gangsters à celle des chasseurs d'espions nazis, de la chasse aux communistes à la véritable histoire de l'exécution des époux Rosenberg, dans les coulisses du Kremlin sur les traces de "Solo " , la taupe du FBI ou dans "Cointelpro ", la plus redoutable des opérations menées par le Bureau. Ils disent leur vérité sur l'assassinat du président Kennedy et dessinent à ce sujet les contours d'un inquiétant complot. Certains traquent la vérité du scandale du Watergate, d'autres complotent pour renverser le président Nixon. Ils se livrent à d'inquiétantes opérations d'infiltration de la Mafia, avant de filer au coeur des réserves indiennes en proie à de sanglantes révoltes. Comment font-ils face aux tueurs en série ? Que trouvent-ils en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie, au fil des pistes qui débouchent sur les attaques du 11 Septembre, à l'heure où vacillent les certitudes en matière de sécurité ?
Mon avis :
J'ai lu ce livre, il y a très longtemps et je n'en avais pas parlé ici parce que j'avais besoin de temps je crois pour assimiler cette lecture. Entre les infos, les erreurs sur l'histoire et les pseudo révélations, il m'a fallut un temps certain pour la digestion de ce pavé de plus de 700 pages.
Premier constat, je connais mal l'histoire des États-Unis. Je connais bien entendu les faits les plus marquants mais j'ai de grosses, grosses lacunes sur les dates, sur les pourquoi du comment et moi, je déteste ne pas maîtriser un minimum un truc qui au demeurant m'intrigue.
On s'attend a des révélations avec le titre de l'ouvrage, oui naïvement je me suis laissé doubler. Pas du tout, tu n'apprendras rien que tu ne sais déjà.
Ça m'a donné envie d'en apprendre plus sur Hoover ou comme je te le dis plus haut sur l'histoire des US, même bien avant la création du F.B.I. Le truc c'est de trouver, de bons bouquins sur ce sujet qui ne soient pas chiants comme la pluie… Si tu as des titres, je suis preneuse!

Inferno de Dan Brown

Note de l'éditeur :
Dans ses best-sellers internationaux, Da Vinci Code, Anges et Démons et Le Symbole perdu, Dan Brown mêle avec brio l’histoire, l’art, les codes et les symboles. En retrouvant ses thèmes favoris, Dan Brown a certainement construit l’un de ses romans les plus stupéfiants, au cœur des grands enjeux de notre époque.
Mon avis :
J'aime Dan Brown. J'aime le rythme de ces bouquins et les intrigues sont plutôt prenantes bien que souvent un peu tirées par les cheveux (doux euphémisme quand tu me tiens!), ça a l'avantage de créer de la curiosité chez moi sur les thèmes abordés par l'auteur.
Clairement, je ne connaissais pas "L'enfer" de Dante, ni même le tableau de Botticelli… Tu as le droit de me jeter des pierres sur mon manque cruel de culture. Dan Brown a le mérite d'avoir réparé ça et c'est déjà pas si mal. Ensuite, il me fait voyager: cette fois, nous partons pour Florence, puis Venise pour finir en Turquie où le pauvre Langdon a une fois encore la lourde tache de sauver l'humanité. Langdon c'est un peu le Bruce Willis de la littérature populaire! 
Le seul reproche dans ce genre de roman ultra fourni en détail serait le manque d'illustration, j'aurais adoré avoir des détails, des plans ou des images de certaines toiles…

Forteresse Digitale de Dan Brown

Note de l'éditeur :
Salué comme le techno-thriller le plus réaliste et le plus captivant de ces dernières décennies, le premier roman de Dan Brown dépeint la limite incertaine entre la défense des libertés individuelles et les exigences de la sécurité nationale. A la National Security Agency, l'incroyable se produit. Translir, le puissant ordinateur de décryptage, ne parvient pas à déchiffrer un nouveau code. Appelée à la rescousse, Susan Fletcher, la belle et brillante cryptanalyste en chef, comprend qu'une terrible menace pèse sur tous les échelons du pouvoir. LA NSA est prise en otage par l'inventeur du cryptage inviolable qui, s'il était mis sur le marché, pulvériserait tout le système du renseignement américain ! Emportée dans un tourbillon de secrets et de faux-semblants, Susan se bat pour protéger son pays et sortir l'agence de ce piège. Bientôt trahie par tous, c'est sa propre vie qu'elle devra défendre ainsi que celle de l'homme qu'elle aime.
Mon avis :
J'ai d'abord lu celui-ci avant de lire Inferno (prêté par notre Poulette Nationale au passage) et je ne sais pas pourquoi je le stipule parce qu'on s'en fou un peu, les histoires n'ayant rien mais alors rien à voir du tout. J'avais lu un peu partout que ce roman était décevant par rapport aux autres et je ne vais pour une fois pas me différencier de la foule: Il est un peu plat. Attends, on a toujours du Dan Brown hein! Un homme, une femme et l'univers qui se ligue contre eux c'est pas le problème, juste que celui-ci ne m'a pas transporté et je suis bien contente de l'avoir acheté en format poche.

Une semaine en hiver de Marcia Willett

Note de l'éditeur :
Il y a des maisons sans âme et d'autres qui vous parlent. Moorgate est de ces dernières. Perdue dans la lande des Cornouailles, il ne lui manque guère qu'un acquéreur, pour s'exprimer avec sa vigueur d'autrefois.
Maudie, la propriétaire, a dû mettre en vente. Trop grand, trop ancien, trop loin. Et puis la vie n'y résonne plus comme avant. Alors que faire, sinon passer le relais ? A Melissa, par exemple, charmante jeune femme de 26 ans qui n'a d'autre désir que de s'installer loin du monde. Et la présence de Rob, l'architecte qui rénove la ferme, n'est pas pour rien dans sa décision. La neige, l'amour, l'odeur du chocolat... En l'espace d'une semaine, Melissa vivra à Moorgate le rêve de toute une vie. Et si le destin frappe bientôt à la porte, les murs de la maison, plus solides que jamais, ne s'avoueront pas vaincus…
Mon avis :
Je rêve d'aller en Cornouailles, mais Mr Grumpy a dit non. Il n'aime pas, cet homme est dans l'action pas dans l'observation et du coup, je pense effectivement que ce n'est pas une destination pour lui.
L'auteure nous en mets plein les yeux des descriptifs sur la lande anglaise, les cottages et les petits villages au charme suranné. C'est clairement un roman à l'eau de rose qui ne fera pas pâlir de jalousie un bon Arlequin que les choses soient claires. Je regrette de ne pas l'avoir mis de coté pour les fêtes de fin d'année au fin fond de ma campagne anglaise (oui, j'ai déposé les armes et elle est devenue "mienne"), sous un plaid devant la cheminée…
Rien qui ne passera à la postérité ceci dit! 

Féroces de Robert Goolrick

Note de l'éditeur

Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C'étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Ming, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi: on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces.


Mon avis :
J'ai détesté. A lire la quatrième de couverture, en y ajoutant le titre et le choix de l'illustration, je m'attendais à lire l'histoire d'une famille sudiste dans les années 50 (ce qui est ma marotte du moment, je sais bien) et pas du tout. Je me retrouve plongée (malgré moi) dans un roman d'une noirceur infinie. Il doit y avoir un genre de public pour cette littérature, c'est sûre mais ce n'est pas moi. Je lis pour me détendre, pas pour me coller un boule dans le ventre…
...
Et je suis un peu honteuse de t'annoncer que la saison de la lecture est terminée.  J'ai commencé deux livres mais ils me sont tombés des mains d'ennui. Deux "classiques" dans lesquelles je n'ai pas réussit à "entrer".  Le premier est Beignets de tomates vertes de Fannie Flagg, je déteste le découpage du roman et ça n'a certainement pas aidé à rentrer dans l'intrigue, si intrigue il doit y avoir. Pour le moment rien n'est moins sûre. 
Le second est un classique et pourtant Gatsby le magnifique m'ennuie au point de ne pas réussir à lire plus de 20 lignes sans soupirer, un calvaire à lire! Et je ne te parle pas de la déception de ne pas savoir apprécier Francis Scott Fitzgerald...