Aujourd'hui, mes jambes se demandent ce qu'il se passe. Elles ne dépasse pas les 5 à l'heure.
Du coup, touriste dans les rues de Rome, je sens la fatigue accumulée pendant ves 46 jours intenses retomber un peu. Pas grave et assez previsible. Alors je prends mon temps, flâne sous un beau soleil d'hiver.
Le pèlerin a un peu de mal à se refaire à la foule, aux bruits, aux encombrements. À la foule. Des filles trop apprêtées, des vitrines trop chics. Mais j'aime aussi les contraste.
Pour retrouver du calme, je me réfugie un temps au musée, l'exposition d'un des premiers maîtres romain.
Et puis je retrouve la rue. Pas de métro, y a trop de monde. Je marche, tout de même. Et je prends quelques photos...C'est Rome, le lendemain de mon arrivée sur la Via Francigena.