Dans le cadre des Matchs de la Rentrée Littéraire 2013 organisés par PriceMinister-Rakuten j’ai reçu le dernier ouvrage de Nancy Houston Danse Noire publié chez Actes Sud.
"Sur un lit d’hôpital, Milo s’éteint lentement. À son chevet, le réalisateur new-yorkais Paul Schwarz rêve d’un ultime projet commun : un film qu’ils écriraient ensemble à partir de l’incroyable parcours de Milo. Dans un grand mouvement musical pour chanter ses origines d’abord effacées puis peu à peu recomposées, ce film suivrait trois lignes de vie qui, traversant guerres et exils, invasions et résistances, nous plongeraient dans la tension insoluble entre le Vieux et le Nouveau Monde, le besoin de transmission et le rêve de recommencement.
Du début du xxe siècle à nos jours, de l’Irlande au Canada, de la chambre sordide d’une prostituée indienne aux rythmes lancinants de la capoeira brésilienne, d’un hôpital catholique québecois aux soirées prestigieuses de New York, cette histoire d’amour et de renoncement est habitée d’un bout à l’autre par le bruissement des langues et l’engagement des coeurs. Film ou roman, roman d’un film, Danse noire est l’oeuvre totale, libre et accomplie d’une romancière au sommet de son art".
Je dois attribuer une note à ce roman et je dois dire que je suis bien embêtée parce que je n’ai pas pu arriver au bout. Je pense qu’on ne peut pas véritablement considérer une oeuvre si on ne l’a pas lue ou étudiée dans son intégralité, ne serait-ce que par respect pour le travail de l’écrivain. Aussi, puisque j’y suis obligée, je lui donne un 10/20 mais c’est un 10 de neutralité plus qu’un jugement passable.
Vous avez certainement déjà rencontré ce genre de rendez-vous manqués avec un livre, ce n’est pas le bon moment, vous ne parvenez pas à entrer dans l’histoire encore moins à vous laisser emporter. Vous ne détestez pas, vous n’aimez pas non plus. Rien ne se passe. Aucune émotion, aucune attraction. Je pense que c’est tout simplement ce qui m’est arrivé avec Danse Noire.
Je reconnais l’immense talent de l’auteur, son style est travaillé, recherché mais je me suis perdue parmi les traductions et j’ai été déroutée par l’aspect "scénario". J’y reviendrai un jour, quand ce sera le bon moment, quand je serai dans un autre état d’esprit peut-être plus disponible pour cette oeuvre.
Je remercie Price Minister ainsi que tous les partenaires qui liront ma critique.
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