Il était suivi par un fade James Deano (le chanteur de « Les blancs ne savent pas danser ») qui servait un cocktail indigeste de blagues (très) pauvres sur son succès et sa conversion à l’islam.
Enfin le troisième, Tom, chanteur « comique », muni d’un synthétiseur, clôturait le spectacle. Cette version pré-pubère de Max Boublil ( dont il s’inspire fortement pour les chansons) n’arrivait malheureusement pas à la cheville de l’originale autant du point de vue de l’écriture que de la présence scénique… Dommage!
Dans l’ensemble, vous l’aurez compris, je n’ai pas aimé ce « Micro Show » qui m’est apparu comme un condensé remâché et de moins bonne qualité de ce qui se fait actuellement en matière d’humour noir…