Fuite des compétences françaises à l’étranger
Catalogué chômeur et en sempiternelle recherche d’emploi qu’il soit diplômé ou pas, le Français de souche galère dans tous les sens et se sent près à quitter les frontières pour une meilleure vie mais où donc peut-il voguer ? Beaucoup de pays en tous cas peuvent l’accueillir à bras ouverts……
Comme l’Allemagne pour les techniciens et ingénieurs
Les allemands sont connus pour voir l’aspect technique des choses et le savoir faire de l’employé et ils s’en foutraient s’il sortirait de Polytechnique ou de s Mines, termes curieux et inconnus. Pour eux un Bac+2 technique ou commercial est le bienvenu. Mais il faut savoir choisir sa ville car Berlin n’est pas des plus accueillante vu son taux de chômage élevé et les salaires en régression par rapport aux autres régions.
La combinaison vacances-travail de l’Australie
La forte croissance de l’Australie attire les jeunes qui demandent le permis 2 en 1, vacances et travail en même temps. Cela permet au candidat expatrié de prospecter le terrain en quête de travail tout en profitant de belles vacances.
Pour vivre en attendant des jours meilleurs, les petits boulots dans les plus beaux vergers australiens et l’attente d’un emploi stable pour pouvoir obtenir sa résidence. Le plus facile serait de postuler dans l’ingénierie ou la vente où les offres sont des plus nombreuses.
Le Canada en quête de francophone
Pareil que pour l’Australie, il faut demander pour les moins de 35 ans un permis vacances-travail pour avoir le droit de chercher pendant une année un employeur. Mais le nombre de places étant limité l faut se lever tôt pour y avoir une place puisque pour l’année passée les 700 visas vacances-travail ont été délivré en 48 heures. Pour multiplier ses chances essayer de postuler pour les métiers jugés en pénurie.
USA et l’American Dream
Avec une politique aussi stricte de visas, il faut s’armer de patience avec pourtant un nombre important de secteurs ouverts où postuler semble des plus aisés. Pour être un tant soit peu intelligent et obtenir le visa, il faudrait commencer par un VIE (volontariat international en entreprise), destinés généralement aux anciens des grandes écoles.
La Grande-Bretagne en recherche de CV atypiques
Il faut croire que la capitale britannique attire les français et ils seraient près de 300 000 à y vivre. Les débutants en langue s’orienteront d’abord vers les métiers de la restauration puis évoluer doucement. Ce qui compte est la motivation du candidat et pas seulement les diplômes.
Donc pour ceux qui ne trouvent pas chaussure à leur pied dans l’Hexagone, alors bonne route, l’avenir les attend au-delà des frontières
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