Sauf que les boutons pressions de l’entrejambe ne tiennent pas. Ça n’arrive pas tout de suite mais après une heure ou deux, invariablement … BAM ! : La pression de la couche (s’épaississant) ou des sauts, cabrioles et autres activités typiques d’un joyeux bambin faisaient sauter les pressions. On pouvait voir les petites cuisses toutes potelées de mon petit bout s’activant dans le jardin ou la cours de la crèche. A l’époque, j’avais investis dans plusieurs paires de collants « ton sur ton » du coup plus de risque d’attraper froid… et puis ça ne se voyait pas (trop) mais bon quand même, à la fin c’était lassant. Le coté positif – il y en a toujours un – c’est que c’était un bon indicateur pour changer les couches. Et oui, le nombre de pressions qui sautent est toujours proportionnel à l’épaisseur de la couche.
Des « salopettes bébé » j’en avais acheté avant et sans problèmes mais à l’époque mon fils ne marchait pas. Je ne peux donc pas vraiment comparer cette histoire de boutons pressions avec d’autres marques. J’imagine que le problème est sans doute le même pour toutes les salopettes bébé
Quant à mon fils et moi, à l’aube du passage à la propreté, je crains de ne pas pouvoir renouveler mon achat salopette. Elles sont sans doute un peu difficiles à ouvrir pour un besoin pressant de petit garçon de deux ans et demi ! Aaaah ça va me manquer la petite bouille de mon fils, les mains fourrées entre son pull et le haut de la salopette et puis c’était si pratique… pas à s‘inquiéter que la taille du pantalon soit trop serrée et donc pas très confortable ou trop large et glissant invariablement vers les chevilles.
En attendant, je me pose une question existentielle : Mr et Mme Petit Bateau, comment testez-vous les boutons pressions situés sur l’entrejambe des « salopettes bébé »? Pourriez-vous les faire un petit peu plus résistants « peaaaaaaaaaaaaaaaaaase* » – comme dirait mon fils…