Bonjour les amis!
Alors, avant que vous ne vous affoliez, je n’ai pas encore regardé l’épisode des 50 ans de Dr Who au moment où vous lirez ces lignes. La faute à qui? A Maman, qui a, sans le savoir, pris des tickets pour un concert des Simple Minds à Bruxelles…le jour J.
Depuis le temps que mon coeur de Whovian indélébile attendait ce jour, et BAM. Je suis la seule du monde à ne pas l’avoir vu encore…
Râââh…
Heureusement que j’aime Simple Minds à la folie, et que Jim Kerr a réussi à me faire oublier le temps d’un concert qu’un TARDIS m’attendait dans ma télé. (Et Dave avec)
Simple Minds, c’est qui? Un groupe écossais (massive fangirling) d’alternative né à la fin des années 70.
Le groupe préféré de ma Maman d’amour.
Un groupe que j’ai entendu dans son ventre, je ne vous mens absolument pas. Des fois, c’est énorme, j’ai l’impression de connaitre une chanson sans en connaitre une seule parole, juste la mélodie. Effet utérus. XD
Bref, hier soir à 21h15, Jim Kerr et sa bande investissent la scène de Forest National, et mettent le feu.
J’ai tellement aimé que ça fait mal au coeur.
Waterfront, Oh Mary, See the lights, Mandela day (l’un de mes préférées)… Tout y est passé.
Et quelques unes de leur nouvel album à venir, Celebrate, sur lequel nous allons donc nous jeter, n’est-ce pas? ^^
Mais sans conteste, la température est montée un grand coup pendant deux moments intenses.
Le premier avec Don’t you (forget about me), MA chanson, celle que j’écoutais en boucle quand j’étais petite et la seule des SM que je connais par coeur. Je me suis tellement égosillée que le bassiste, juste devant ma gueule (nous aimons être tout devant), a ri. Connard.
Le deuxième, durant le rappel.
L’éternelle Alive and kicking, la chanson de Mouche.
Je n’ose vous dire à quel point mes oreilles ont sifflé après ce concert. Un truc de fou.
Et reste que Jim et sa bande sont un groupe d’adorables personnes, qui remercient leur public à tour de bras comme si ils n’y croyaient pas. Vraiment de bonnes personnes.
J’ai vraiment aimé.
Et je suis sûre que les quelques enfants des années 80 passant par mon blog apprécieraient aussi.