Cette journée, vise le perfectionnement de la formation des kinésithérapeutes intéressés à la prise en charge de la rééducation de la main et la création d’un véritable réseau ville-hôpital pour optimiser la prise en charge des patients.
Depuis quelques années, dans le cadre de la collaboration avec le SOS Mains d’Orléans, le Réseau Prévention Mains Centre (RPMC) a été mis en place avec une antenne dans l’unité de chirurgie de la main au CHRU. Il s’agit d’une structure permettant une prise en charge médico-sociale personnalisée du patient lorsque le traumatisme ou la maladie de la main vont entrainer des conséquences dans sa vie personnelle, sociale et professionnelle.
Ainsi, aux urgences du CHRU, à l’hôpital Trousseau, 8 à 10 patients ayant un traumatisme de la main sont vus chaque jour et bénéficient, dès l’arrivée, d’une prise en charge dédiée, dans un circuit spécifique, par le chirurgien d’astreinte de Chirurgie de la Main.
L’équipe du SOS Mains de Tours est constituée de 3 chirurgiens permanents et d’un chef de clinique, sous la responsabilité du Dr Laulan, membre titulaire de la Société Française de Chirurgie de la Main et membre du Collège des Enseignants de Chirurgie de la Main. Le service est Centre formateur pour la chirurgie de la Main.
Le suivi est aussi assuré par une équipe paramédicale spécialisée, constituée d’une infirmière chargée des pansements de la main et par trois kinésithérapeutes membres du GEMSSOR (groupe d’étude de la main et du membre supérieur en orthèses et rééducation) qui réalisent les appareillages et assurent la rééducation des mains traumatisées.
Source : Communiqué, du 18 novembre 2013, du CHRU de Tours
Contact : Anne-Karen Nancey - 02 47 47 37 57
- PSYCHO: Derrière une poignée de mains, le circuit de la récompense
- ANTHROPOLOGIE: La poignée de main, une tradition sociale déjà chez le chimpanzé
- PARALYSIE: Un transfert nerveux redonne à un tétraplégique l’usage de ses mains
- Maladie des MOUVEMENTS en MIROIRS: Le gène qui synchronise les 2 mains
- Découverte en GÉNÉTIQUE: Doigts, mains et pieds, comment ils se (mal)forment