vaccin Gardasil dangereux
Coup de gueule aujourd’hui ! Je viens tout juste de consulter mes emails et la dernière lettre de l’Institut National pour la Protection de la Santé Naturelle me fait froid dans le dos !
Je partage avec vous cette information importante sur le vaccin Gardasil recommandé aux jeunes filles pour prévenir le cancer du col de l’utérus. C’est une honte comme vous allez le voir dans quelques secondes mais malheureusement, ce vaccin n’est pas le seul à être dangereux…
Serez-vous toujours prêtes à vous faire injecter ce vaccin lorsque vous saurez qu’il contient un produit toxique pour le système nerveux ? Produit que l’on utilise aussi dans la mort aux rats… J’espère que non et j’espère également que vous serez nombreux et nombreuses à signer la pétition en cours contre les adjuvants dangereux dans les vaccins et à faire passer ce message au plus grand nombre de personnes.
Les vaccins dangereux nous concernent tous…
Ce n’est pas mon premier coup de gueule sur mon blog (et certainement pas le dernier non plus…). Je préfère vous donner des nouvelles sympas, des infos utiles sur les huiles essentielles ou les huiles végétales et même des petites recettes de cosmétiques maison, c’est clair…
Je préfère 1000 fois vous envoyer des ondes positives plutôt que de vous glacer le sang mais là, je suis en colère et je pense que vous le serez aussi lorsque vous aurez lu la lettre d’Augustin de Livois, Président de l’Institut National pour la protection de la Santé Naturelle.
Si vous ne connaissez pas encore ce site et si votre santé (et la protection de la santé naturelle) vous préoccupent, je vous invite à vous inscrire à sa newsletter. Vous aurez certainement des sueurs froides en lisant les lettres informatives de l’IPSN mais vous apprendrez beaucoup de choses sur ce que l’on souhaite nous faire croire dans le domaine médical et sur les fausses « solutions » que l’on nous propose.
Je vous transmets la lettre d’Augustin telle que je l’ai reçue. Je compte vraiment sur vous pour faire passer le message à votre tour car nous sommes tous concernés par ce problème et si nous ne faisons rien, rien ne changera !
Ne laissez pas votre médecin vous injecter de la mort aux rats !
Madame, Monsieur,
Le vaccin Gardasil, conseillé à toutes les jeunes filles contre le cancer du col de l’utérus, contient du borate de sodium, utilisé dans la mort aux rats, car toxique pour le système nerveux. (1)
Il contient aussi du polysorbate, utilisé comme stérilisant chez les souris.
130 décès et toujours recommandé par les autorités sanitaires
Ce vaccin suscite la polémique car il aurait déjà provoqué 30 000 accidents, dont 130 décès. Mais il est toujours recommandé par les autorités sanitaires. Résultat, tous les jours, de nouvelles jeunes femmes en France, en Europe, dans le monde entier, se laissent administrer ce vaccin parce qu’on leur cache son potentiel danger.
Est-ce acceptable ? Nous ne le pensons pas et c’est pourquoi je vous demande de signer la pétition par laquelle nous demandons au gouvernement le retrait des adjuvants dangereux dans les vaccins.
C’est le moment ou jamais de vous faire entendre
En mars 2012, un groupe de députés s’est formé à l’Assemblée nationale pour réclamer un moratoire sur les vaccins contenant de l’aluminium. L’aluminium est cancérigène, il provoque la maladie d’Alzheimer, et cause une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages. Pourtant, de nombreux vaccins en contiennent, y compris l’un des plus répandus, le DTP (diphtérie tétanos polio). (2)
L’Académie de Médecine a publié en 2012 un rapport sur les adjuvants vaccinaux dans lequel elle reconnaît officiellement que les sels d’aluminium sont neurotoxiques. (3)
Le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin hépatite B avait déclenché un myofasciite à macrophages chez un employé de la ville de Paris. (4)
Le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) a réalisé un rapport sur « aluminium et vaccins » rendu public le 29 juillet 2013 (5). Dans ce document, le HCSP avoue ne pas savoir si la persistance des lésions musculaires causées par l’aluminium présente ou non un caractère pathologique.
L’association E3M (Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages) a réuni 75 000 signatures pour exiger la mise à disposition d’un vaccin de base (DTPolio) sans aluminium.
NOUS DEVONS BATTRE LE FER TANT QU’IL EST CHAUD.
Profitons de cette exceptionnelle conjonction de facteurs pour exiger des autorités sanitaires le retrait de tous les adjuvants dangereux.
Signez et faites signer la pétition ci-dessous à toutes vos connaissances
Nous sommes à un moment historique, que nous attendions depuis des années. Jamais les circonstances n’ont été aussi favorables. L’association E3M a d’ailleurs été reçue, le 23 juillet 2013, le cabinet de la ministre de la Santé Marisol Touraine, preuve que le sujet est chaud, brûlant !
Car l’aluminium vaccinal n’est pas un cas isolé, loin de là !! C’est n’est au contraire que la partie émergée de l’iceberg.
800 effets secondaires, narcolepsie et un risque de sclérose en plaques augmenté de 300%
Le vaccin pour les bébés Infanrix Hexa contient du mercure, qui est encore bien plus toxique que l’aluminium. Selon un document confidentiel de son fabricant, le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline, ce vaccin est associé à plus de 800 effets secondaires, comme la mort subite du nourrisson, le diabète, l’autisme, l’épilepsie, etc. (6)
Le vaccin contre la grippe contre la grippe H1N1 Pandermix contenait dusqualène. Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable.
Le vaccin contre l’hépatite B indique, sur sa notice, qu’il peut provoquer la sclérose en plaques.
Une étude de 2004 menée par l’épidémiologiste américain Hernan a montré qu’il existait un risque 3,1 fois supérieur de déclarer une sclérose en plaques dans les 3 ans qui suivent une vaccination anti-hépatite B.
Il existe en outre quantité d’études qui lient le vaccin contre l’hépatite B au diabète, au lupus, à la névrite optique, à la polyarthrite rhumatoïde, à la thyroïdite et bien d’autres maladies encore.
Peut-être avez-vous un enfant, un proche, qui souffre ou qui est décédé d’une de ses maladies. Peut-être êtes-vous vous même touché.
Demain, on vous injecte des vaccins de force, à moins que…
Mais même si ce n’est pas le cas, et que vous êtes conscient du danger des adjuvants dans les vaccins, vous n’êtes pas à l’abri pour autant. On sait en effet qu’en cas de pandémie, les gouvernements du monde entier pourront, avec l’appui de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), décider de vacciner de force toutes les populations.
Cela signifie pour vous que vous pourriez malgré tout vous faire injecter un jour, sous la contrainte, un vaccin dangereux, qui vous déclencherait une grave maladie comme la sclérose en plaque ou la maladie d’Alzheimer.
Mais ce risque peut-être considérablement réduit si, aujourd’hui, vous et moi parvenons à faire interdire les adjuvants dangereux comme le mercure, l’aluminium, le borate de sodium (mort au rat) ou le formaldéhyde.
C’est pourquoi je vous demande de signer la pétition ci-dessous, et de transférer ce message à tout votre carnet d’adresses.
Vous rendrez également un immense service à des millions d’enfants
En trente ans, le nombre de vaccins administrés aux tout-petits a plus que doublé. Pire, on leur injecte aujourd’hui des vaccins combinant des germes de huit maladies différentes, ceci alors que leur système immunitaire n’est pas préparé.
Surexcité, le système immunitaire des bébés peut s’emballer et provoquer une réaction incontrôlable. Voici le témoignage d’une maman qui a vécu ce drame, recueilli par le Forum Européen pour la Vaccinovigilance :
« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l’identité de mon bébé parce que j’ai peur que cela me retombe dessus, mais j’ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu’un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (Diphtérie, coqueluche, tétanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c’est. Elle était parfaite. Lorsqu’on lui fit l’injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d’une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s’est endormie profondément, et ne s’est plus jamais réveillée. J’ai commencé à m’inquiéter parce qu’elle semblait dormir plus longtemps que d’habitude et lorsque j’ai voulu vérifier, j’ai remarqué qu’elle avait un peu vomi et qu’elle ne respirait plus. Ils ont du faire une autopsie mais ils n’ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c’est le vaccin qui l’a tuée. Elle n’avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l’ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd’hui, j’ai peur qu’ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu’ils m’accusent d’avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c’est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuilcorrectement. Elle était si belle. »
Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, il déclenche de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l’eczéma, l’hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.
Ils nient, se taisent et ne font rien ?!?
Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l’accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments).
De leur côté, les autorités sanitaires conservent au sujet des vaccins un silence coupable. Elles savent qu’elles n’ont pas joué leur rôle : aujourd’hui encore, elles dispensent les vaccins, on ne sait pourquoi, des tests destinés à évaluer leur potentiel cancérigène, mutagène (changement d’ADN) et tératogène (maladies qui passent aux descendants).
Ces tests sont pourtant systématiquement imposés aux médicaments, et même aux cosmétiques.
Pourquoi les vaccins, qui contiennent des substances qui sont parmi les pires poisons que l’on trouve dans la nature, en sont-ils dispensés ?
Sommes-nous bien en 2013 ?
Comment n’a-t-on pas encore inventé un vaccin sans substances toxiques ?
Qui se permet de jouer à la roulette russe avec notre santé, avec nos vies, chaque fois que nous nous faisons vacciner ?
Aidez-nous à sauver des milliers de personnes. Signez la pétition ici. Le mouvement doit être massif, et nous pouvons obtenir que les adjuvants vaccinaux dangereux soient enfin interdits.
Je porterai personnellement la liste des signatures au ministre de la Santé Marisol Touraine.
Et notre association entreprendra toutes les démarches nécessaires auprès du Parlement et des autorités nécessaires pour obtenir gain de cause.
Mais vous seul pouvez donner la légitimité démocratique à notre action. C’est pourquoi votre signature est indispensable.
Peut-être est-ce votre voix qui fera la petite différence qui fera tout basculer. C’est pourquoi, je vous en prie, maintenant que vous avez lu tout ce message, ne quittez pas cette page sans avoir ajouté votre nom à notre pétition. Je compte sur vous, au nom de toutes les personnes dont la santé et la vie seront épargnées grâce à notre campagne.
Un grand merci d’avance. Et surtout, n’oubliez pas de transférer ce message le plus largement possible.
Avec tout mon dévouement,
Augustin de Livois
Sources :
(1) Interrogé sur les risques sanitaires que présente le Gardasil, du fait notamment de la présence de sels de bore dans sa composition, le Ministre de la Santé a rappelé que la toxicité de ce composant sur les fonctions de reproduction était connue, avant de préciser que la dose présente dans le vaccin est très largement inférieure à la valeur seuil assurant l’innocuité de ce dérivé de l’acide borique et l’exposition restait alors limitée dans le temps (Question n° 129978, JOAN 1er mai 2012, page 3343). Initiative Citoyenne « La toxicité sur les fonctions de reproduction de l’acide borique et de ses dérivés tels que le borate de sodium (ou borax) présent dans la composition du vaccin GARDASIL sont connues. Chez l’homme, la valeur seuil d’exposition référencée à ne pas dépasser est de 0.2 mg de Bore/kgg/jour. Or, une dose vaccinale de GARDASIL contient 35 mcg de borate de sodium soit environ 4,2 mcg de Bore, ce qui est très largement inférieur à la valeur seuil assurant l’innocuité de ce dérivé de l’acide borique. Par ailleurs, il s’agit d’une exposition limitée dans le temps (trois injections espacées chacune d’un intervalle d’au moins deux mois). » Initiative Citoyenne
(2) Aluminium et Vaccins : Les réponses du Ministère aux questions des parlementaires, analysées par E3M
(3) Les adjuvants vaccinaux : quelle actualité, Observations de l’association E3M sur le rapport de l’Académie de Médecine
(4) Vaccin : ce que tout parent doit savoir
(5) Aluminium et vaccins
(6) Confidential to regulatory authorities
{lang: 'fr'}Merci à tous ceux qui signeront cette pétition et feront passer ce message à leur entourage !