« Il importe de suivre certaines procédures pour préserver la dignité des victimes et faciliter leur identification », déclare Andres Patiño, expert du CICR en activités médico-légales dans le domaine de l’humanitaire et premier spécialiste en médecine légale à arriver à Tacloban. « Il faut que les morts soient dûment récupérés et placés dans des sites d’inhumation temporaires afin qu’une enquête médico-légale puisse être réalisée par la suite. Des photographies doivent être prises, et les informations descriptives et données post-mortem doivent toutes être enregistrées. » (Lire la suite)