Il n'y a pas grand chose à dire. Il y a bien du papier. Un feutre pour esquisser des contours. Une paire de ciseaux et un cutter pour donner forme.
Il y a toujours un arrière plan, très flou, qui laisse supposer plus qu'il ne montre.
Il y a un truc incroyablement fragile. Qui pousse presque à retenir sa respiration. Quelques secondes. Ne rien briser. Ne pas déranger. Ne pas être le battement d'aile qui pourrait tout flinguer.
Dans son portfolio, il y a quatre saisons. Qui débordent de petits riens, fragiles, insignifiants.
Kouichi Chiba lui-même (le photographe japonais auteur de ses clichés) définit son travail en trois mots.
Draw. Photograph. Live.
En (sa)voir plus:
- son portfolio
- son 500px
- son Instagram