Des syndicats aux abonnés absents, débordés par des "bonnets rouges", "des bonnets blancs', des mouvements sans organisation, complexes, poussés par le populisme.
Un parlement assimilable aux tranchées de 14-18 où l'on assène "ses verités' sans essayer de comprendre celles des autres.
Une presse aux ordres du pouvoir, critiquant les éxilés fiscaux mais se gardant bien d'abandonner ses propres niches fiscales.
Des extrêmes qui s'invectivent, en arrivant même au meurtre, mais unies dans le même désir d'abattre la V° République.
Un Président impopulaire, complètement sourd aux grondement de son peuple, tel un équilibriste au bord du chaos.
Il y a trois ans je revenais en France, et ma santé ne me permet plus d'en repartir, ce que j'aurai fait sans aucun doute car ce n'est plus mon pays de coeur, alors je vous dis :"Fuyez, tant que vous le pouvez !!!"