qui m'agacent plus ou moins, d'un point de vue strictement littéraire, cette fois, dirons-nous...
- le mauvais emploi, décidément, de la préposition à (ex : la voiture à mon père, le livre à ma soeur...) qui introduit tout un tas de truc sauf la possession. En effet, il faut dire : la voiture de mon père, le livre de ma soeur. Encore que la langue française est ainsi faite que si on tient absolument à son emloi on peut tourner différemment la phrase : la voiture est à mon père, le livre appartient à ma soeur.
- les pléonasmes qui consiste à monter en haut ou descendre en bas, voire de parler de taux d'alcoolémie...
- le barbarisme : solutionner un probleme. Non, on ne solutionne pas de problème, on en résoud (même si c'est plus difficile à conjuguer :-/). Courage, d'ici quelques années, il finira par disparaitre tout comme les nominés aux Césars, Oscars et compagnie.