The Goldbergs // Saison 1. Episode 8. The Kremps.
Cette semaine nous allons faire la connaissance des Kremp, les voisins des Goldberg. Nous allons faire la connaissance de ces personnages grâce à Adam qui va trouver en Chad Kremp un compagnon
lui aussi fan de Tron, un film qu’il a vu… 16 fois. J’aimerais bien que maintenant l’on voit plus souvent Chad dans The Goldbergs. Un peu comme les amis de
Malcolm par exemple. C’était une très bonne idée que d’intégrer de nouveau personnage de même que la famille Kremp de manière générale qui est aux antipodes de la famille Goldberg. Cette famille
est beaucoup plus ridicule et moins drôle du coup mais la confrontation des deux donne quelque chose d’assez jouissif. Notamment face à Beverly. Disons que la famille Kremp est en plus de ça
assez silencieuse, conservatrice et très à cheval sur les manières. La confrontation peut apparaitre un peu cliché au premier abord mais ce n’est pas vraiment un problème dans le sens où la série
exploite malgré tout l’univers de façon assez plaisante. Le problème que les premiers épisodes de la série avaient c’est que l’on avait l’impression qu’il n’y avait pas de monde extérieur.
Fort heureusement que cet épisode et là pour changer tout cela. La relation entre Beverly et sa voisine Virginia est là aussi une excellente idée. Entre gros ratés (notamment le barbecue) où
Beverly va bien évidemment rendre les choses encore pire que prévu. Et puis elle va même réussir à faire peur à Virginia ce qui va avoir pour cause d’interdire son fils de voir Adam. Alors que
ces deux là n’ont rien demandé. La plupart de l’épisode se concentre donc sur la dynamique entre Beverly et Virginia. Même si cela peut apparaitre comme un peu trop au premier abord, j’ai plutôt
été séduit par le tout. Surtout que cela fonctionne suffisamment bien. Les faces à faces sont toujours aussi amusante et bonne franquette. Car oui, The Goldbergs ne cherche pas à
trop en faire sur les bords. Du coup, Adam Goldberg et ses équipes font un boulot assez intéressant avec la série et surtout du point de vue de sa famille qu’il ne peut que bien
connaitre. Même si parfois on peut regretter que cela ne soit que sa propre vision des choses (basées sur des vieilles VHS familiales) on peut retrouver l’intérêt de The
Goldbergs grâce à son côté touchant et mignon.
Note : 6/10. En bref, nouveau.