Par Bernard Bujold ( LeStudio1.com) -
La Québécoise Geneviève Sabourin a été reconnue coupable de harcèlement à l'égard d'Alec Baldwin et condamnée à 6 mois de prison plus les 30 jours pour outrage...
Une histoire digne du cinéma! Une histoire très triste!
J'ai déjà écrit que je connais Geneviève et que je suis allé un soir au théâtre en sa compagnie à la suggestion de Mitsou Gélinas, une amie commune à nous deux. Mitsou avait voulu me faire une faveur car elle savait que je me cherchais activement une compagne féminine. Geneviève aurait pu être la femme qui m'aurait convenu. Nous étions en 1996.
Même si j'ai le même âge que l'acteur Alec Baldwin, Geneviève ne m'avait pas pas trouvé attrayant et nous ne nous sommes jamais revus... Nous n'avions pas non plus couchés ensemble! Je l'ai contacté ces dernières années par les médias sociaux, depuis le début de l'affaire Baldwin, et j'ai sympathisé avec elle. Il est évident que l'acteur américain a passé la soirée et la nuit avec elle et qu'il a ensuite changé d'idée. Cela se produit souvent dans la vie...
Le juge et l'avocat de Baldwin reconnaissent d'ailleurs tous deux cette possibilité mais la peine de prison est pour les actions de Geneviève après la rupture. Geneviève aurait dû abandonner le jeu et oublier l'Américain mais parfois, ce n'est pas facile, voir impossible mentalement.
Est-ce que l'on peut considérer l'affaire classée? Je suis personnellement un grand amateur de télé-série américaines. Si l'histoire de Geneviève était un scénario, je dirais que nous ne sommes qu'à la demie et que le punch est à venir dans la deuxième demie-heure...
À suivre...
Photo 1 et 2: Geneviève Sabourin ;
Photo 3 et 4: Alec Baldwin ;
Photo 5: Bernard Bujold et Mitsou (1996) ;
Voir reportage La Presse ;
Voir reportage The New York Post ;