Son essence qui n’a toujours pas de nom

Absent longtemps au régime biographique
Étreindre l’étincelle qui frotte
Flippe frappe et frictionne ça
Le piston de la fiction déclenche
Le futur état et ce monde hélas imaginaire
La distorsion montre des défaillances graphiques
Le décor souffle les lignes acerbes
Passer de l’ombre à la Lumière
N’est pas chaque matin
Ce qu’il y a de plus simple à faire
Voici que remonte l’initiale expansion
Accroche-toi bien à la branche
Oui la branche qui parle Ève
De chaque heure chaque instant
Car il va bientôt venter fort fort
Telle est la Loi du grand mystère
Quand cela décide de te faire mère
Pour purifier l’esprit elle t’a permis
D’émaner une créature de mon engeance
Sinon comment passer du lombric à l‘ombrelle
En un genre de papillon sur le point de dégeler
Rencontre du troisième type mais familiale
Ou tes cousins sont d’outre-tombe
Peu importe le nombre de cycles
Avec ou sans réparation filiale
On rassemble comme un point de service
Autant par le penchant pour quelque dessein plus exalté
Qu’une crise de foi avec du sang et des blessés
Les oubliés sur le pavé qui se soucient
De gravir une montagne nommée l’ego
Ou leur nombril HD
Dépendant de quel point de vue l’on se place
Le travail est assez similaire
Continuer de l’envoyer en l’air mais
En faisant la brasse à contre courant parfois
Si cela signifie remonter le flux du temps
Sans prendre soin de ce qu’il faut faire
Ni oser ce qu’il vaudrait mieux satisfaire
Je cultive ce temps armé de la théorie du banal
Sur un lieu commun non pas
Parce que cela me convient mais
Parce que je suis accroché là tel un disque rayé
En attendant que quelqu’un me secoue
La vieille branche séquence remonte
Puis je reviens réparer les différentes facettes
De la connexion
Plongeant au cœur de ce cimetière
Et fini par te sauver très cher frère
Par la peau de l’absence tu calcules