Quatrième de couverture :La boue, le froid, les rats, les poux. La peur, aussi. Et le bruit des obus. Et les cris des copains qui tombent, l'un après l'autre. C'était le quotidien des soldats perdus dans leurs tranchées, pendant la Première Guerre mondiale. Cette guerre, c'est l'obsession de Jacques Tardi depuis qu'il est enfant. Bon nombre de ses bandes dessinées, à commencer par les aventures de son héroïne Adèle Blanc-Sec, se situent à cette époque. Mais ici, le premier conflit mondial est bien plus qu'un simple élément du décor. C'est le sujet même du livre, la matière brute d'un récit bouleversant traité en noir, gris et blanc. Tardi ne cherche surtout pas à jouer les historiens. Ce qui l'intéresse, c'est de décrire la vie et les souffrances du soldat. C'est de montrer l'absurdité d'un conflit et le désarroi de pauvres types dépassés par une machinerie qui les broie sans rémission. Tardi parle de la guerre, de toutes les guerres. Avec l'angoisse de la voir revenir un jour dans toute sa folie meurtrière.
Magazine Culture
Auteur: Tardi
Titre Original: C’était la guerre des tranchées
Date de Parution : 2 novembre 1993
Éditeur : Casterman
Nombre de pages : 126
Prix : 17,00€ 16,15€
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C'était la guerre des tranchées
Quatrième de couverture :La boue, le froid, les rats, les poux. La peur, aussi. Et le bruit des obus. Et les cris des copains qui tombent, l'un après l'autre. C'était le quotidien des soldats perdus dans leurs tranchées, pendant la Première Guerre mondiale. Cette guerre, c'est l'obsession de Jacques Tardi depuis qu'il est enfant. Bon nombre de ses bandes dessinées, à commencer par les aventures de son héroïne Adèle Blanc-Sec, se situent à cette époque. Mais ici, le premier conflit mondial est bien plus qu'un simple élément du décor. C'est le sujet même du livre, la matière brute d'un récit bouleversant traité en noir, gris et blanc. Tardi ne cherche surtout pas à jouer les historiens. Ce qui l'intéresse, c'est de décrire la vie et les souffrances du soldat. C'est de montrer l'absurdité d'un conflit et le désarroi de pauvres types dépassés par une machinerie qui les broie sans rémission. Tardi parle de la guerre, de toutes les guerres. Avec l'angoisse de la voir revenir un jour dans toute sa folie meurtrière.
Quatrième de couverture :La boue, le froid, les rats, les poux. La peur, aussi. Et le bruit des obus. Et les cris des copains qui tombent, l'un après l'autre. C'était le quotidien des soldats perdus dans leurs tranchées, pendant la Première Guerre mondiale. Cette guerre, c'est l'obsession de Jacques Tardi depuis qu'il est enfant. Bon nombre de ses bandes dessinées, à commencer par les aventures de son héroïne Adèle Blanc-Sec, se situent à cette époque. Mais ici, le premier conflit mondial est bien plus qu'un simple élément du décor. C'est le sujet même du livre, la matière brute d'un récit bouleversant traité en noir, gris et blanc. Tardi ne cherche surtout pas à jouer les historiens. Ce qui l'intéresse, c'est de décrire la vie et les souffrances du soldat. C'est de montrer l'absurdité d'un conflit et le désarroi de pauvres types dépassés par une machinerie qui les broie sans rémission. Tardi parle de la guerre, de toutes les guerres. Avec l'angoisse de la voir revenir un jour dans toute sa folie meurtrière.