The Goldbergs // Saison 1. Episode 7. Call Me When You Get There.
Cet épisode m’a fait plaisir car je me suis un peu amusé. Disons que les personnages étaient bons et à la place qu’il faut. Sans parler du fait que Beverly est toujours un personnage adorable qui
sait prendre soin de ses enfants (même un peu trop soin de ses enfants). Cette semaine, Barry va enfin avoir droit à son permis de conduire ce qui veut dire pour lui : la liberté. Enfin, ce n’est
pas totalement de la liberté puisque Beverly va être là afin de montrer à son fils qu’il faut faire attention sur la route et ne pas prendre ça à la légère. The Goldbergs tente
de faire passer un message au travers de cette morale. Je dois avouer que j’ai bien aimé la morale qui n’était pas pompeuse ou ennuyeuse. Et Beverly ajoute son « Call me when you
get there » qui donne son nom à l’épisode. Forcément, Barry va trouver le moyen d’avoir des ennuis en n’écoutant pas sa mère. Et même s’il tente de cacher la vérité, cette
dernière se sait toujours (voilà encore un moyen de prouver que The Goldbergs est toujours une série moralisatrice). Mais quand je parle de morale avec cette comédie, je dois
avouer que je ne parle pas de quelque chose de mauvais. Certaines comédies peuvent le faire de façon ennuyeuse et d’autre pompeuse mais là non. C’est juste amusant.
Il faut dire que l’ensemble de The Goldbergs est plutôt cocasse et plaisant. Je ne m’ennuie pas tant que devant et c’est quelque chose à quoi je ne m’attendais pas nécessairement
en lançant ce nouvel épisode. Disons que depuis deux épisodes la série avait pris le temps de me décevoir et du coup, je m’étais retrouvé avec quelque chose d’assez plat et pas très drôle. Le
casting est bon et l’on passe de bons moments avec eux mais il manquait quelque chose, notamment ce qui fait le sel de cette comédie depuis ses débuts. Le côté familial de The
Goldbergs est certainement l’un de ses plus gros atouts. Tout le monde dans la famille Goldberg est un peu bête sur les bords, sauf apparemment Adam. Enfin, même si ce dernier tente de
démontrer qu’il n’est pas bête, il y a des moments où il se ridiculise en bonne et due forme. Mais c’est un gosse qui doit faire des bêtises pour apprendre (c’est en tout cas la morale que je
retiens à chaque fois autour d’Adam). Barry n’est pas mon personnage préféré de The Goldbergs et c’est donc d’autant plus étonnant que j’ai autant apprécié cet épisode. J’ai tout
de même trouvé le temps de sourire (même aux élucubrations de Pops).
Note : 6.5/10. En bref, à mon grand étonnement cet épisode est à mon humble avis l’un des plus réussis de The Goldbergs pour le moment.