J'ai adoré...la valse lente des tortues de Katherine Pancol

Par Emmascara @emmascara
J'aime lire, j'ai toujours aimé lire. Je lis beaucoup, surtout des romans policiers genre thrillers bien trash, avec des tueurs en série et tout et tout. Mais de temps en temps, je me laisse tenter par un joli roman, avec des tranches de vie et des gens quasi normaux. Des romans qui parlent des problématiques de tous les jours, de relations humaines plus ou moins saines. C'est comme ça que j'ai connu Katherine Pancol il y a quelques années. Et j'ai été très fan. Je ne sais pas trop pourquoi je ne l'ai pas suivie. Mais j'ai réparé cette erreur en allant sur Troczone (je t'en parlais ici), ce site sur lequel j'ai pu troquer La Valse Lente des Tortues.

Ce roman est la suite du célèbre "Les yeux jaunes des crocodiles" que j'avais donc lu il y a quelques temps. J'avoue que j'avais un peu peur de ne rien comprendre à ce deuxième volet, de ne plus me souvenir des personnages, de l'intrigue. Je me souvenais juste que j'avais dévoré ce livre, que je m'étais attachée aux personnages et que c'était très bien écrit. Il se trouve que les retours en arrière sont assez rares et très explicites donc tu peux démarrer ce roman sans avoir lu le premier.
C'est un roman où il est question de relations compliquées entre mères et filles, de voisins douteux, de mystérieuses attaques au couteau dans les rues de Paris, d'amours impossibles, de réincarnation et de malédiction...oui, tout ça!
Comme moi, peut-être que tu compatiras avec la gentille Joséphine pour qui tout est compliqué. Tu détesteras Iris sa soeur ainsi que sa mère Henriette et leur amour de l'argent. Tu voudras mettre des gifles à sa pimbêche de fille aînée Hortense et rassurer la petite Zoé. Tu seras attendrie par la famille Grobz au grand complet. Tu te demanderas qui est l'assassin.
Et tu seras tellement conquise que tu arrivera à la dernière page sans même t'en rendre compte. Alors, tu te précipiteras vers le roman que Katherine Pancol a écrit juste après: Les Ecureuils de Central park sont triste le lundi.