L'une a adopté une monnaie unique, l'autre pas.
Le graphique ci-dessous réalise ce que j'avais souhaité dans un billet récent, séparer non la zone euro et la totalité de l'union, mais bien, au sein de l'union, la zone euro et la zone non-euro.
Le graphique ci-dessous, issu du même site, est parlant : en dix ans, la zone non-euro a un nombre de chômeurs stables, la zone euro fait +60 % de chômeurs.
Il n'y a donc pas que la France qui soit malade de l'euro. De plus en plus de gens s'en rendent compte, dont Steve Ohana, interrogé par le cabinet de conjoncture Xerfi :