Brooklyn Nine-Nine // Saison 1. Episode 7. 48 Hours.
Encore une fois, Peralta a fait des siennes. Il va arrêter un homme, sans que l’on n’ait aucune preuve de sa culpabilité. Du coup, l’équipe va devoir trouver un moyen de l’inculper et surtout de
découvrir des indices. J’ai trouvé cette histoire amusante surtout qu’elle permet encore une fois de jouer avec la dynamique de groupe que Brooklyn Nine-Nine a tenté d’installer
depuis le début. Cela fonctionne une fois de plus à merveille et l’on a envie que d’une chose : en voir encore plus. C’est assez étrange ce sentiment que j’ai parfois devant cette comédie car je
ne m’attendais pas du tout à ce qu’elle garde un tel niveau de qualité au fil des épisodes. Cet épisode de Luke Del Tredici (30 Rock) permet de voir également
que Brooklyn Nine-Nine tente de s’installer dans une sorte de mécanique. C’est très simpliste finalement mais cela fonctionne très bien. Je ne pouvais donc pas rêver mieux de la
part de la série. On a donc une intrigue assez classique, que la série aurait très bien pu proposer auparavant, et qui fonctionne comme ce que l’on a pu déjà voir dans les 6 premiers
épisodes.
Vous voyez où je veux en venir ? En effet, Brooklyn Nine-Nine commence à devenir une série prévisible mais cela ne veut pas pour autant dire que cet épisode était mauvais. En
effet, il y avait encore de très bonnes répliques, de très bons gags et aussi des personnages toujours au sommet de leur forme. Je ne pouvais donc pas rêver mieux de la part de « 48
Hours » que de me délivrer quelque chose du genre. Ce qui est dommage avec Peralta finalement c’est que le personnage est dans son truc, dans son monde et qu’il ne cherche pas
forcément à en sortir. J’aimerais bien parfois qu’il change un peu de rôle, que l’on voit le personnage dans des situations différentes. Cela aurait très bien pu être amusant. Enfin, c’est de
cette façon que je le ressens. Le casting de Brooklyn Nine-Nine est pourtant si bon que du coup, je ne peux pas en vouloir à Peralta de faire encore et encore la même chose. Car
tout le monde autour de lui, tente de lui donner raison d’être ce qu’il est. Comme notre grand patron finalement. Ce dernier est toujours le même mais ce sont tous les petits sidekicks avec leurs
gags qui donnent à Brooklyn Nine-Nine cette sensation de folle série.

Note : 7/10. En bref, du bon Brooklyn Nine-Nine encore une fois.