Quatrième de couverture :A défaut de constituer une génération politique, ce qui rassemble les jeunes Français d'aujourd'hui est d'entrer en politique dans un contexte bien différent de celui de la jeunesse de leurs parents. Bien des signes d'un malaise, ressenti par les citoyens, sont visibles. Le doute s'est emparé des urnes et l'abstention ne cesse de se rappeler d'élection en élection. La confiance dans les institutions politiques et dans les gouvernants est au plus bas. Dans les années 1960-1970, les rêves de "grand soir" comme ceux des "lendemains qui chantent" animaient les débats de la jeunesse, et ceux des plus vieux aussi. L'ascenseur social fonctionnait. Les croyances politiques s'y engouffraient. C'est dans ce climat d'une "politique désenchantée" qu'ont grandi les jeunes d'aujourd'hui et qu'ils font leurs premiers pas en politique. C'est dans ce contexte aussi qu'émergent de nouvelles formes et de nouveaux contenus de politisation dont ils sont les promoteurs.
Quatrième de couverture :A défaut de constituer une génération politique, ce qui rassemble les jeunes Français d'aujourd'hui est d'entrer en politique dans un contexte bien différent de celui de la jeunesse de leurs parents. Bien des signes d'un malaise, ressenti par les citoyens, sont visibles. Le doute s'est emparé des urnes et l'abstention ne cesse de se rappeler d'élection en élection. La confiance dans les institutions politiques et dans les gouvernants est au plus bas. Dans les années 1960-1970, les rêves de "grand soir" comme ceux des "lendemains qui chantent" animaient les débats de la jeunesse, et ceux des plus vieux aussi. L'ascenseur social fonctionnait. Les croyances politiques s'y engouffraient. C'est dans ce climat d'une "politique désenchantée" qu'ont grandi les jeunes d'aujourd'hui et qu'ils font leurs premiers pas en politique. C'est dans ce contexte aussi qu'émergent de nouvelles formes et de nouveaux contenus de politisation dont ils sont les promoteurs.