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On a regardé : la Nouvelle Star 2014, Episode 1

Publié le 05 novembre 2013 par Swann

Depuis mon casting raté à l’ancienne Bourse de Paris, j’attendais impatiemment le retour de la Nouvelle Star sur D8. Plus que les années précédentes, je crois. La grande première, c’était le 31 octobre. On débute avec Lyon et Bruxelles, deux villes qui réservent souvent des surprises… Sauf que cette année, c’était un peu pauvre… Entre les candidats qui essaient trop, ceux qui au contraire n’essaient pas assez, ceux qui n’ont pas de voix ou qui misent tout sur leurs coupes de cheveux… Un peu déçue donc, pas de vrai coup de coeur pour le moment mais peut-être un voire deux candidats qu’on aimerait voir plus loin. Néanmoins, il y a des choses qu’on a aimé, d’autres pas du tout.

On aime :

- L’entame de ce premier épisode. L’idée de la Télénovela c’est assez drôle. Question : Dédé et Sinclair vont-ils réussir à saboter le mariage de Olivier FramBASier ? Cela va nous tenir en haleine pendant toute la saison.

- Quand Olivier Bas se la raconte. "Moi j’ai eu la chance de travailler avec Mano Solo blablabla". Love.

- Les blagues pas drôles de Sinclair. Mais c’est drôle quand même. Love²

- Les histoires de petits oiseaux qui ne peuvent pas chier à cause d’une feuille collée à leur arrière-train. Merci Maurane.

- Le montage et les synchros. Il y a des mecs qui ont du bien s’amuser derrière les écrans d’ordinateurs. On vous a grillé.

- Sokir. Le mec ose venir chanter du Céline Dion version Comédie Musicale. Française, la comédie. Avec des grands gestes, des vibes d’un autre monde, une bouche qui s’ouvre tellement qu’on pourrait y apercevoir son estomac si on regarde bien. Et le meilleur, c’est qu’il y croit. Rien que pour ça, merci Sokir, tu es très mauvais mais tu es mon héros, tu viens d’enterrer Cindy Sanders.

- Christopher. Le mec naît au Cameroun qui vit à Grenoble et qui étudie à Strasbourg. Sa reprise de "No Diggity" était plutôt apaisante.

On n’aime pas

- Ces candidates qui chantent comme Zaz. Non vraiment, on en a une seule, ça suffit.

- Ces candidates qui essaient de chanter en anglais ou flamant, parfois on ne distingue plus trop la langue tellement l’accent est mauvais. Je veux bien croire qu’un français qui parle anglais avec un accent à couper au couteau peut être charmant (parfois) mais ça écorche les oreilles (souvent). Comme celui de Léopoldine.

- Ces candidats qui reprennent "Le Vent l’Emportera" de Noir Désir, parce que c’est la chanson derrière laquelle tu peux te cacher, même quand t’as pas de voix. La chanson est tellement belle qu’elle masque la misère.

- Pierre-Monsieur-la-musique-c’est-mon-domaine-et-ma-force-c’est-d’allier-ma-belle-gueule-et-ma-belle-voix… d’après lui. En l’écoutant on a plutôt l’impression d’entendre la chèvre de monsieur Seguin qui aurait trop abusé de l’hélium.

- La minute capillaire… Même si, moi, je, tu et même Julien Doré, considérons que les cheveux c’est important, ce moment où l’on détaille les tendances capillaires (dépassées, je veux dire Justin Bieber, la mèche, so 2010 quoi), ça arrive un peu comme… un cheveux sur la soupe non ? Pardonnez-moi le jeu de mot foireux, il est 1 heure du matin à l’heure où j’écris ce billet.

- Djilali => Icare d’il y a quelques saisons. Le pseudo-philosophe n’a pas trop de voix, un filet on dira, mais qui tente l’esbroufe. En soi, c’est pas un problème, mais là, la ficelle est tellement voyante que ça ne passe

On retient (avec quelques réserves) :

- Sirine, mais on a un problème darling, trop de manière, trop, Rihanna, trop "film de cul", toutafé Maurane.

- Harisoa, la voix écorchée et chaude.

On attend surtout les prochains épisodes…


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