Grève à l'hôtel Colombus
Depuis une semaine, une trentaine d'employés de l'hôtel Columbus sont en grève. Un mouvement qui pourrait encore continuer. Le dialogue avec la direction semble inexistant à propos d'un plan de restructuration amorcé en 2005. Les grévistes critiquent également l'emploi croissant d'extras ou de CDD. Cette restructuration a abouti à des licenciements, pour sa part la direction les qualifient de disciplinaires. Les grévistes sont allés à l'Inspection du travail pour demander une entrevue en urgence et depuis jeudi 31 octobre à 10 h 30, une vingtaine d'employés de l'hôtel font un sit-in devant les bureaux de l'Inspection du travail, rue princesse Antoinette. Mercredi, s'est tenue une réunion entre la direction et les représentants des salariés en grève dans les bureaux de l'inspection du travail, elle s'est soldée par un échec. "Malgré une proposition de la direction d'ouvrir trois contrats en CDI", révèle Alexandre-Pierre Faidherbe, directeur général de l'hôtel. Quant aux grévistes, ils rétorquent "Leurs propositions ne correspondent pas du tout à nos revendications". Le 31 octobre, ils demandent que l'Inspection du travail s'implique dans ce différend et dresse un procès-verbal de la réunion qui s'est tenue le mercredi. Depuis le début de ce conflit social, le bar et le restaurant sont fermés.
Mise à l’eau des pontons flottants de l’avant-port
Le Service des Travaux publics met en œuvre les travaux d’aménagement des nouveaux équipements du Yacht Club, de l’École de voile et de la Société nautique de Monaco, soit une rampe de mise à l’eau fixe, une panne flottante en T pour le Yacht Club et l’École de voile, ainsi que des pontons flottants pour la Société nautique. Du lundi 28 octobre au jeudi 14 novembre, ces travaux seront centrés sur l’installation des pontons flottants qui seront déchargés sur la darse sud dans une zone réservée et sécurisée puis acheminés par la mer pour rejoindre l’avant port. Cette manutention tient compte des manifestations portuaires comme la No Finish Line et la Fête foraine.
Lâcher de ballons roses au CHPG
Le 29 octobre à 12 h 30, un lâcher de ballons roses et biodégradables a été organisé dans le cadre d'Octobre rose, au CHPG, en soutien aux malades du cancer du sein. Ceci, afin d’encourager son dépistage. Cette manifestation était une première en Principauté et s'est déroulée en présence du conseiller de Gouvernement pour les Affaires sociales et la santé, Stéphane Valeri, du Dr. Daniel Rouison, conseiller médical auprès de ce même Département, du Dr. Mathieu Liberatore, chef du Service d’échographie-sénologie, du président du Conseil d’Administration, André Garino, ainsi que de nombreux dirigeants et membres du personnel du CHPG. Le Gouvernement princier, sous l’égide du Département des Affaires sociales et de la santé, mène une politique dynamique de prévention en matière de santé publique,notamment par le Centre monégasque de dépistage dirigé par le Dr. Rouison. Entre autres actions menées, citons les campagnes de dépistage du cancer colorectal, de l'ostéoporose, et plus récemment, la campagne de vaccination contre le papillomavirus humain, complétée par la campagne de dépistage organisé du cancer du col de l'utérus. Le Gouvernement princier va continuer de soutenir son effort dans ce domaine en lançant dès l’an prochain une nouvelle campagne de dépistage organisé du cancer du sein, pour sensibiliser une plus large frange de la population féminine. Cette complémentarité d'action avec l’Association Pink Ribbon, très active en ce domaine, et toutes les personnes qui s’engagent à ses côtés, permettra de tout mettre en œuvre pour faire reculer ce cancer en Principauté. Rappelons qu’aujourd’hui, dans neuf cas sur dix, on guérit d’un cancer du sein dépisté suffisamment tôt. D’importantes sommes ont d’ailleurs été inscrites au budget de l’État pour renforcer, au CHPG, le Service de sénologie dirigé par le Dr. Liberatore. Ces travaux, de près de 1,5 million d’euros, commenceront en janvier prochain pour se terminer en mars 2014. Ils doteront le service des appareils les plus performants pour dépister ce cancer. Le CHPG disposera ainsi d’un des mammographes en 3D parmi les plus efficaces au monde, d’une valeur de plus de 300.000 €. La Principauté de Monaco dispose donc de tous les moyens pour réussir à mener les campagnes de prévention efficace, équipements de haut niveau, réseau exceptionnellement dense de professionnels de grande compétence et volonté politique affirmée d’être, en ce domaine également, un pays exemplaire et un modèle. Soutien à Fight Aids Monaco
Lundi 4 novembre, José Badia, conseiller de Gouvernement pour les Relations extérieures, a remis à la Mairie de Paris, le prix des Femmes du Festival de courts métrages le Temps Presse. Dans son jury, on remarque S.A.S. la Princesse Stéphanie, présidente de Fight Aids Monaco et ambassadrice de l’ONUSIDA. Par ailleurs, 262 élèves ont aussi participé à ce concours en qualité de jury du Prix des Enfants. Pour cette troisième édition, soutenue par le Gouvernement princier, le Festival a récompensé 6 réalisateurs ayant réalisé un court métrage sur un Objectif du Millénaire pour le Développement, OMD. Outre le Prix des Femmes et le Grand Prix, dont le jury est composé des 8 grands réalisateurs, Wim Wenders, Jane Campion, Gaspar Noe, Gus Van Sant, Abderrahmane Sissako, Mira Nair, Gael Garcia Bernal et Jan Kounen, du film "8", le Prix des Enfants a été un des moments forts de la soirée. En effet, 262 enfants, de 8 à 12 ans, de Monaco, du Burundi, du Maroc et de France, ont participé à cet élan de solidarité internationale avec pour mission de choisir parmi 5 films présélectionnés, celui qui devait remporter le Prix des Enfants. Deux élèves de Monaco représentant les établissements partenaires, école Saint Charles et collège FANB, accompagnés d’un professeur, étaient venus à Paris pour remettre ce Prix aux côtés du conseiller José Badia.
La Coopération monégasque contre la drépanocytose
Du 26 au 28 octobre, la Coopération monégasque a réuni l’ensemble de ses partenaires, corps médical et associations, dans le domaine de la lutte contre la drépanocytose, première maladie génétique au monde. Ceux-ci, issus de six pays africains se sont unis pour renforcer la coopération Sud Sud et améliorer les pratiques de prise en charge des malades. Depuis 2007, le Gouvernement princier, par le biais de sa Direction de la Coopération internationale, accorde à cette maladie un soutien prioritaire. Après la construction, l’équipement et l’appui au fonctionnement de quatre centres de référence, au Mali, au Niger, à Madagascar et prochainement au Sénégal, un soutien aux associations pour leurs actions de sensibilisation ainsi qu’une aide directe aux malades à travers l’accès au micro-crédit, cet atelier a été organisé pour renforcer le réseau de partenaires à travers un agenda de travail commun. Plusieurs axes de travail ont été mis sur pied et se concrétiseront à court ou moyen termes. Sur le plan médical, réalisation d’un guide de prise en charge des malades commun aux six pays, Mali, Madagascar, Niger, Burkina Faso, Mauritanie et Sénégal; en ce qui concerne la recherche scientifique, lancement de trois nouvelles recherches pour améliorer le suivi et la prise en charge des malades; à l'échelon associatif, réalisation d’outils de sensibilisation, mise en commun d’actions de plaidoyer et lancement d’une réflexion sur la création de mutuelles de santé pour les drépanocytaires. En clôture de ces deux journées, José Badia, conseiller de Gouvernement pour les Relations extérieures, a remercié la quarantaine de participants pour leur implication quotidienne dans la lutte contre la drépanocytose et a affirmé que le Gouvernement princier renforcerait son soutien à l’ensemble de ses partenaires, notamment pour le suivi des travaux initiés pendant l’atelier. Il n'est pas inutile de rappeler que cet atelier a été réalisé avec le soutien de la Fondation Sanofi Espoir et l’appui technique de l’association STEPS Consulting Social. L’Académie nationale de Médecine à Monaco
Les lundi 4 et mardi 5 novembre, la séance de l’Académie nationale de médecine est délocalisée à Monaco. Le professeur Nadir Saoudi, chef de service de cardiologie au CHPG et membre correspondant de l’Académie nationale de médecine, a accueilli les participants en présence de François-Bernard Michel, président de l’Académie nationale de médecine et membre de l’Institut de France et d’André Vacheron, ancien président de cette Académie et membre de l’Institut de France. Cet événement se déroule à l’amphithéâtre Lou-Clapas depuis le lundi 4 novembre à 16 h 50, les conférences, gratuites et ouvertes au public, ont pour thème "Mer, Environnement, Santé". De nombreux intervenants de la Principauté se succèdent, le professeur Denis Lallemand, Robert Calcagno, Alain Ducasse, Pierre Frolla, notamment. Héritière de l’Académie royale de chirurgie et de la Société royale de médecine, l’Académie royale de médecine devenue Académie nationale de médecine, siège depuis 1902 rue Bonaparte dans le VIe arrondissement de Paris. Elle réunit des médecins, des chirurgiens, des biologistes, des pharmaciens et des vétérinaires reconnus pour leurs travaux scientifiques et pour les responsabilités qu’ils ont assumées dans le domaine de la santé. Depuis sa création, l’Académie a compté onze membres nationaux lauréats du Prix Nobel. Son indépendance et la pertinence de ses rapports et communications lui confèrent une place originale et un rôle important dans le domaine de la santé.
Première soutenance de thèse au nouveau CSM
Le 1er octobre dernier, S.A.S. Albert II inaugurait les nouveaux locaux du CSM, Centre scientifique de Monaco, 8, quai Antoine 1er. Un mois plus tard, une thèse était soutenue pour la première fois dans ce nouveau cadre. Devant un jury composé d’éminents scientifiques, le candidat, Julien Laurent, a présenté ses travaux portant sur la régulation du pH chez les coraux. Il a notamment mis en valeur les résultats qu’il a obtenus sur l’origine de la sensibilité des coraux à l’acidification des océans, sujet au cœur de préoccupations environnementales sur le devenir des récifs coralliens. Les travaux de ces trois années de recherche effectuées au Centre scientifique de Monaco dirigé par le Pr Denis Allemand, ont été encadrés par les Drs Sylvie Tambutté, responsable de l’équipe de physiologie et Alexander Venn, chargé de recherche au CSM. Ils ont donné lieu à trois publications dans des revues aussi prestigieuses que les Compte-Rendus de l’Académie nationale des sciences des États-Unis, PNAS. Le jury a souligné l’excellence du travail et a décerné à Julien Laurent le grade de docteur en sciences de la vie, diversité du vivant de l’Université Pierre et Marie Curie – Paris VI. Ces travaux ont pu être été réalisés grâce au financement octroyé par le Gouvernement princier. Dès la semaine prochaine, une nouvelle étudiante viendra rejoindre l’équipe de physiologie/biochimie pour commencer une thèse sur la biominéralisation de l’emblématique corail rouge de Méditerranée, Corallium rubrum.
Une médaille en récompense
L'Institut océanographique, Fondation Albert Ier, Prince de Monaco décerne chaque année la Grande médaille Albert Ier à un chercheur scientifique hautement qualifié et reconnu internationalement dans le domaine de l'océanographie, ceci sans considération de nationalité. Les personnalités mises à l'honneur en 2013 sont Gilles Boeuf, biologiste français, professeur à l'Université Pierre-et-Marie-Curie, UPMC, Paris VI, président du Muséum national d'histoire naturelle depuis le 9 février 200 et Andrew Bakun, professeur de biologie marine à l'Université de Miami. Cette Grande médaille créée en 1948, récompense l'ensemble d'une carrière, des travaux spécifiques ou une découverte exceptionnelle de portée mondiale dans le domaine de l'océanographie. La cérémonie aura lieu le jeudi 7 novembre à 18 h au Musée océanographique. Rencontres musicales de Méditerranée
Leur 15e édition se déroule en Corse du 3 au 10 novembre avec la participation de l'Algérie, l’Égypte, l'Espagne, la France, la Grèce, l'Italie, le Liban, le Maroc, la Principauté de Monaco et la Tunisie. Le coup d'envoi en a été donné le 30 octobre au Conseil général de Haute-Corse par Guy Dongradi, président de l'association des Jeunesses musicales de Méditerranée, en présence de nombreux partenaires, notamment la Mairie de Bastia et le Conseil général de Haute-Corse et d'une bonne partie de l'équipe des"Rencontres". Guy Dongradi explique leur succès, "durant huit jours, les conservatoires d’État, Académies nationales supérieures de Musique et Instituts des pays invités, se produiront dans plusieurs villes et micro-régions de l'Île."
Au programme, des animations et des concerts, des veillées musicales en compagnie de groupes locaux, dans les grands centres urbains et sur l'ensemble de la Corse. Et Guy Dongradi de préciser "Ajaccio, Bastia, Bonifacio, Calvi, Folelli, Lucciana, Prunelli di Fium'orbu, Saint-Florent, Sisco, Venzolasca vivront les Rencontres Musicales de Méditerranée qui accueilleront cette année, pas moins de 200 artistes et personnalités musicales de la Méditerranée". C'est pour lui, comme il tient à le souligner "un véritable espace de dialogue interculturel, de rencontres, d'échanges et de partage", plus qu'un "simple festival" ou une "compétition de virtuosité musicale". La rencontre se terminera par une soirée de gala au théâtre municipal de Bastia. Elle aura lieu le samedi 9 novembre à 20 h 30 avec à l'affiche l'ensemble des musiciens dirigés par le chef d'orchestre Alessandro Bomanoti, ils accompagneront en formation symphonique, le groupe corse Arapà lors de son interprétation, sur scène, de "Parte é vultà". Au préalable, toutes les formations invitées auront joué des œuvres libres caractéristiques de leurs pays et auront uni leurs talents à ceux des artistes locaux tels que Altea, Arapà, A Riuccata, Attrachju, Jean Jacques Cattani, Patrizia Gattacecca.
Relevons aussi la soirée du mercredi 6 novembre à 20 h 30 au théâtre de Bastia, entièrement consacrée à Verdi. Avec en première partie l’Académie de musique Prince Rainier III puis en seconde partie récital organisé par la Dante Alighieri en partenariat avec le Cercle lyrique de Bastia, durant lequel se produiront la soprano Angela Papale et le pianiste Fabio Marra.
Pour plus d'informations: Jeunesses musicales de Méditerranée
Bérengère Dautun et la comtesse de Ségur
Le jeudi 24 octobre dernier, la sociétaire de la Comédie française présentait, à 20 h 30 au théâtre des Variétés, "Comtesse de Ségur née Rostopchine". Cette soirée avec entrée libre, marquait les 130 ans de l'Alliance française de Monaco. Seule en scène, l'actrice créait une pièce, mise en scène par Pascal Vitiello, où elle incarnait le célèbre auteur de romans pour enfants sous des facettes que ne pouvaient soupçonner les lecteurs des Malheurs de Sophie ou du général Dourakine. On apprenait naguère dans les livres d'histoire que le comte Fédor Rostoptchine, gouverneur général de Moscou avait fait incendier la ville devant la Grande armée de Napoléon Ier en septembre 1812, c'était son père. Née le 1er août 1799 à Saint-Pétersbourg, venue en France en 1817, elle avait épousé le comte de Ségur dont elle eut huit enfants. D'après la comédienne "Elle n'était pas celle que l'on croit. On a l'image d'une gentille grand-mère qui écrit pour les enfants, mais elle était bien moins lisse". Et Bérengère Dautun de poursuivre "Elle fait partie de ces femmes qui sont passées de leur père à leur mari. Elle a quitté la Russie pour la France et a traversé une longue dépression qui, à l'âge de 55 ans, l'a poussée à écrire après s'être battue toute seule et avoir surmonté une mère castratrice". Avant de conclure "La mise en scène réserve des surprises avec ce personnage qui nous balade dans toutes les périodes de sa vie". "Ce personnage, je suis allée le chercher en moi. Même si je me suis documentée sur la vie de la comtesse, il est impossible d'incarner un personnage si on ne le trouve pas en soi".
La pièce sera reprise à Paris en janvier prochain pour une soixantaine de représentations. Le 1er juin dernier, vers 4h37, Oleksandr, un jeune Ukrainien de 25 ans, perdait le contrôle de son véhicule sur la bretelle de l’avenue de la Costa et percutait un mur. Il fut arrêté et l'éthylotest révéla qu'il avait 2,16g d'alcool dans le sang. Tout d'abord, les policiers crurent que les trois occupants de la voiture se moquaient d'eux, en effet aucun d'eux n'était capable de répondre à leurs questions. On découvrit qu'ils étaient tous sourds et muets, ce qui cependant, ne les avait pas empêché de venir faire la fête en Principauté… Le tribunal correctionnel de Monaco les a condamnés à huit mois de prison avec sursis. On peut s'étonner d'une telle mansuétude et imaginer qu'ému par l'infirmité des Ukrainiens, il se sera laissé aller à beaucoup de compréhension. Ou que de guerre lasse, le tribunal a préféré clore des débats qui n'avaient pas dû être faciles et avaient sans doute dégénéré très vite en un dialogue de sourds! 1er novembre 1911, naissance à Moscou de Lev Aslanovitch Tarassov devenu Henri Troyat en littérature. Lauréat du Prix Goncourt en 1938, élu à l'Académie française en 1959, il reçut le prix Prince-Pierre-de-Monaco en 1952. Henri Troyat est mort à Paris le 2 mars 2007. A l'occasion du centième anniversaire de sa naissance, l'Office des timbres de Monaco a émis un timbre-poste à son effigie, dessiné par Cyril de La Patellière.
3 novembre 1977, décès à Monaco de l'écrivain français Armand Lunel qui était né le 9 juin 1892 à Aix-en-Provence. Agrégé de philosophie, il enseigna cette discipline au lycée Albert-Ier de Monaco de 1920 à sa retraite. Auteur de plusieurs romans, il écrivit aussi des livrets d'opéra, notamment "La Chartreuse de Parme" pour le compositeur Henri Sauguet ainsi que notamment "Les malheurs d’Orphée" et "Maximilien" pour Darius Milhaud.
4 novembre 1824, naissance de Charles Victor Émile, baron de Boyer de Sainte-Suzanne, mort le 14 janvier 1884. Du 27 février 1875 au 14 janvier 1884, ce haut fonctionnaire, aussi archéologue, fut gouverneur et conseiller d’État de la Principauté.
4 novembre 1869, naissance à Männedorf dans le canton de Zurich de Berthe Agnès Lisette Schilling, qui sous le nom de Lucienne Bréval, fit une grande carrière de soprano dramatique. Naturalisée française, elle est morte le 15 août 1935 à Neuilly-sur-Seine. Elle triompha à plusieurs reprises à l'Opéra de Monte-Carlo, notamment le 4 février 1911 lors de la première représentation de "Salammbô", opéra en 5 actes et 7 tableaux d'Ernest Reyer, livret de Camille du Locle d'après le roman de Gustave Flaubert. Mise en scène de Raoul Gunsbourg, décors d'Antoine-Alphonse Visconti et direction de Léon Jehin.
4 novembre 1908, naissance à Essômes-sur-Marne, dans le département de l'Aisne du romancier et critique dramatique Jean-Jacques Gautier. Prix Goncourt en 1946, élu à l'Académie française en 1972, il fut lauréat du prix Prince-Pierre-de-Monaco en 1970. Il est mort à Paris le 20 avril 1986.
4 novembre 1918, création dans l'enceinte du lycée de Monaco d'un cours secondaire pour jeunes filles, lequel fusionnera avec le lycée à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Emmanuel Falco conseiller privé du Prince - Monaco au quotidien - Monaco humanitaire - Monac...