Après Sans attendre, l’album français que nous vous avions chroniqué ici, Céline Dion est de retour dans les bacs avec Loved me back to life.
Sachant toujours s’adapter au public visé, ici on ne retrouve pas la douceur et la retenue de l’artiste au service des textes, mais bien les vocalises et la puissance vocale qu’apprécie les Anglo-Saxons.
On peut s’en rendre compte dès le titre d’ouverture qui donne son nom à l’album et que nous vous proposions d’écouter ici. Puissance qu’on retrouvera la plupart du temps et notamment dans Breakaway ou Thankful.
Autres grosses différences avec Sans attendre, la présence de beaucoup plus d’instruments et des morceaux extrêmement produits et calibrés pour être des tubes. On apprécie particulièrement Somebody loves Somebody et sa batterie ainsi que la boite à rythme et les guitares sur Save your soul.
Pour ceux qui préfèrent la Céline Dion plus calme, vous prendrez plaisir à écouter Didn’t know love et Thank you, des morceaux plus posés.
On notera également la présence de deux duos, l’un avec Ne-Yo sur Incredible, l’autre avec Stevie Wonder sur Overjoyed, ainsi que la reprise de At Seventeen de Janis Ian, chanson que l’on connaît en français sous le titre A 17 ans interprété par Claude François.
Une version deluxe propose 2 reprises de plus, à savoir Lullabye (Goodnight, My Angel) de Billy Joel et How Do You Keep the Music Playing ? dont la musique est de Michel Legrand et les paroles de Alan Bergman et Marilyn Bergman.
Bien que nous apprécions plus la Céline Dion « version française », nous avons pris une fois de plus beaucoup de plaisir à l’écouter et ce nouvel album trouve largement sa place sur les étagères à côté des autres.
Céline Dion ne nous as jamais déçu et le prouve encore ici.