Je viens partager avec toi, mes dernières découvertes en séries TV et la récolte de ce billet est bien mince. En même temps, je continue de suivre les saisons des séries dont je t'ai déjà parlé (quand elles n'ont pas été déprogrammées faute d'audience) et j'essaie de me tenir à flot, ce qui fait que je ne sais absolument pas ce qu'il se passe dans la programmation française et DRAME: J'ai dû faire une croix sur les émissions de télé-réalité. Oui, je sais. Mais on ne peut pas tout avoir, n'est-ce pas?
Mr SELFRIDGE
Le pitch:
Harry Gordon Selfridge lance en 1909 le premier grand magasin londonien dans le but de révolutionner la façon de consommer de la bourgeoisie anglaise. Véritable visionnaire et pionnier, il ira bousculer toutes les conventions sur Oxford Street en ouvrant une boutique aussi grandiose que magique!
Du chef du personnel au magasinier, tous seront les acteurs de la mutation des codes ultra rigides de tout un peuple.
Mon avis:
J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire, sans doute parce que je la visionnais de suite après The Paradise, du coup j'ai cherché des similitudes, de quoi me raccrocher à certains personnages. Je l'ai trouvé moins rythmé, plus fade aussi j'ai fini par la laisser de coté quelques mois.
Il n'y a, en effet, aucun point commun entre les deux séries qui pourtant se situent à la même époque et puis The Paradise est inspiré du roman Au Bonheur des Dames d'Emile Zola dont l'intrigue se situe en France, Mr Selfridge retrace les premier pas de cet homme d'affaire américain venu conquérir les coeur des anglaises, tout au moins leurs porte-monnaies.
Pendant plusieurs épisodes, je n'ai pas su si j'aimais ou détestais le personnage principal… Américain se croyant tout permis, mari volage et infidèle sans aucune discrétion et puis, son rôle gagne en profondeur et on finit par être attendrie.
Parallèlement, on suit Agnès, une jeune vendeuse très (trop?) carriériste pour l'époque qui ne pense qu'à son travail sans se soucier du regard intéressé des hommes, ce qui provoque inexorablement la jalousie de toutes les femmes…
Note que les anglais sont plus chauvins que moi (et pourtant), puisque toute la distribution est anglaise à deux exceptions près: Jeremy Piven qui joue le personnage de Harry Selfridge est américain comme son personnage et un petit français Grégory Fitoussi qui interprète Henri Leclair un décorateur français.
Comme souvent avec les séries anglaises, il y a peu d'épisode (9 de mémoire pour celle-ci) mais j'attends la suite avec impatience!
CHICAGO FIRE
Le pitch:
La série se déroule à Chicago et suit les membres d'une caserne de pompiers: Le Chicago Fire Department. Elle associe aussi bien les aspects professionnels du métier de sapeur pompier que les vies plus intimes des personnages.
Mon avis:
Je ne sais pas si j'aime ou pas cette série. J'en ai regardé onze épisodes, ensuite Mr Grumpy prit littéralement de passion ne m'a plus attendu pour visionner la suite et si le thème est plutôt novateur dans les séries américaines (d'habitude on oscille entre hôpitaux et commissariats, je schématise tu sais bien ^^), j'ai trouvé l'ambiance du film très années 90.
J'avais détesté Jesse Spencer dans le rôle de Chase dans Dr House, je le déteste toujours autant dans la peau du brave gars de service. J'ai découvert Taylor Kinney, le beau gosse un brin rebelle qui est à se damner (dommage que lui ne regarde que Lady Gaga!), et j'ai retrouvé avec plaisir David Eigenberg (le Steve Brady de Miranda dans Sex and the City).
Pas incontournable selon moi.
DECEPTION
Le pitch:
Un jeune agent de police retourne sous couverture auprès de la riche famille au sein de laquelle elle a grandit en tant que file de la gouvernante, pour résoudre le meurtre de l'héritière célèbre qui était autrefois sa meilleure amie.
Mon avis:
Initialement, la première saison devait comporter 13 épisodes, elle s'arrête sur une "non fin" au 11ème épisode faute d'audience aux Etats-Unis. Clairement, ce n'était pas la série de l'année mais elle se laisse regarder avec plaisir me rappelant un peu Dirty Sexy Money où l'argent et le pouvoir font lois.
Note aussi que l'on retrouve Victor Gaber (l'architecte du Titanic de James Cameron ou encore le père de Sidney dans la série Allias).
DEVIOUS MAID
Le pitch:
Quatre femmes de ménage d'origine latine travaillent pour de riches familles au coeur de luxueuses villas de Beverly Hills. Lorsqu'une de leurs amies est tuée dans des circonstances mystérieuses, elles s'interrogent sur leurs rêves et leurs espoirs déçus, sur leurs patrons, tous plus névrosés les uns que les autres, et sur leur avenir…
Mon avis:
Marc Cherry a reussi l'exploit d'un après Desperates Housewifes et pourtant au départ, je n'y croyais pas trop. Je ne m'imaginais pas retrouver ces héroines régulièrement, pire m'y attacher et pourtant, j'ai regardé cette série en une dizaine de jours seulement. Il subsiste quelques absurdités comme des femmes de ménage toujours tirées à quatre épingles dans des robes trop luxueuses pour gagner en crédibilité mais les personnages sont tour à tour drôles, touchants, cyniques et l'on retrouve quelques acteurs (et actrices) qui avaient un peu disparus des petits écrans comme:
- Roselyn Sanchez que l'on a connu comme l'agent Elena Delgado dans FBI:Portés Disparus.
- Grant Show que j'ai connu dans Melrose Place sous Jake Hanson et dans Private Practice dans le rôle de Archer Montgomery et qui reste un beau gosse absolu malgré la cinquantaine qui approche.
- Stephen Collins que l'on a connu comme Eric Camden dans Sept à la maison dans un rôle beaucoup moins politiquement correct et Tom Irwin spécialisé dans les seconds rôles que je trouve très talentueux dans la peau plus que douteuse d'Adrian Powell.
Lien: Mes séries du moment…(1)
Lien: Mes séries du moment…(2)
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