Douglas Harding - Le petit livre de la vie et de la mort , p.115.
Mais en réalité, le corps est bien plus vaste que ce à quoi nous le limitons ; il est aussi grand que le monde en vérité. On peut s’en rendre compte en fermant les yeux. Si je ferme les yeux en effet, le corps se dissout en un ensemble de sensations changeantes. Je perds alors toutes limites ; impossible de trouver ici une bastille dans laquelle je serai coincé. Je ne peux trouver dans l’expérience de l’instant présent la moindre forme. Au contraire, le corps devient conscience et la conscience se révèle sans limite et sans forme. Si on prête attention aux sensations, si on écoute vraiment le corps, alors on s’éveille à un espace-corps-conscience de plénitude et de liberté.
Un extrait audio d'un atelier avec Catherine Harding du 2 novembre
(source : blog de José Le Roy)